Le dirigeant à l’UPL et ancien ministre du Commerce, Mohsen Hassen, a affirmé, ce lundi 12 décembre 2016, ne pas approuver le refus de l’UPL de voter pour la Loi de finances 2017.
Il a affirmé, dans une intervention donnée ce soir sur le plateau de Mariem Belkadhi 24/7, que si des liens d’amitié l’unissent au président du parti, Slim Riahi, il est de moins en moins d’accord avec l’orientation que prend le parti.
« Nous avons raté un évènement historique, et je crois que plus que jamais la Tunisie a besoin d’être unie et je pense que j’ai le droit d’avoir des convictions que je ne tairai pas. Ceci n’a rien de personnel, mais si Slim Riahi a signé l’Accord de Carthage, il n’a cessé de dénigrer son contenu et Youssef Chahed plus tard, ceci m’amène à prendre ma propre orientation politique et les décisions qui en découlent, d’ailleurs j’ai été contacté par plusieurs partis et on verra… », l’ancien ministre.
A la question s’il comptait quitter l’Union patriotique libre, Mohsen Hassen a signifié à plusieurs reprises que sa décision sera dévoilée très prohainement.
M.B.Z
Commentaires (15)
CommenterBravo M. Hassan
Proxénétisme étatique et prostitution politique
censuree
WAW
Tourisme politique
Slim Riahi a raison, on ne désigne pas des ministres par le biais de CV mais en fonction d'une ligne directrice claire et approuvée par les partis au pouvoir.
Caresser au sens du poil, à priori n'intéresse pas le président de l'UPL.
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ex- ministre que cherches-tu encore?
Maladies de la démocratie
Oh son patron S. RIAHI est encore pire. Mais tunisiens mes compatriotes qui avaient voté pour lui, vous avez fait ce choix sur quels critères? Je ne comorends pas
Cherchez l'erreur
Ce type essaie de relancer sa machine de perdant en voulant se détacher aujourd'hui de Slim Riahi et de son parti.
Il ne vaut guère mieux que son employeur.
Oust, du balais.
Le dernier de nos soucis
Il se croit Si important que ça pour qu'on s'intéresse à lui.
À ce point. Le paysage audiovisuel est si vide pour qu'on le comble avec ces banalités? Vivement la seconde révolution.