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Mehdi Jomâa: Je me concentre désormais sur mon initiative politique !
16/03/2017 | 12:23
2 min
Mehdi Jomâa: Je me concentre désormais sur mon initiative politique !

 

A l’occasion du premier anniversaire du Think Tank Tunisie Alternatives,  fondé et présidé par l’ancien chef du gouvernement, Mehdi Jomâa, un évènement a été organisé ce jeudi 16 mars 2017 au Cogite, espace de coworking, dédié aux entrepreneurs au Lac 1.

 

Mehdi Jomâa a annoncé qu’il passe le flambeau aux jeunes générations et par conséquent qu’il se retire de la présidence de Tunisie Alternatives pour se concentrer sur son initiative politique.

 

Il a aussi indiqué que le Think Tank a réussi à réunir de nombreuses compétences tunisiennes dans tous les domaines ajoutant : « Je suis fier de laisser dernière moi une telle institution visionnaire. Elle s’est construite autour d’éminentes personnes et  maintenant elle fonctionne d’elle-même. Les personnes passent mais les institutions demeurent ! Je passe donc le flambeau à la nouvelle génération pour me concentrer sur le travail politique ! ».

 

 

« Préparer la Tunisie pour intégrer la révolution digitale », était le thème de cette session qui durera jusqu’à 17h30, et qui sera marquée par de multiples interventions.

Maher Kallel,  président de l'Association Carthage Business Angels ; Myriam Karoui, enseignante chercheuse à l'Ecole Centrale ; Moez El Elj, enseignant à l'Institut supérieur de gestion et chercheur au Laboratoire d'Economie et de gestion industrielle à l’Ecole polytechnique de Tunisie ; Amina Bouzguenda Zeghal, DG de l'université Paris-Dauphine de Tunis ; Mustapha Boubaya, SG de l’Association Carthage Business Angels ; Hager Trabelsi Toumi et Tawfik Jelassi, ancien ministre et professeur de stratégie et mangement à l’International Institute for management development (IMD), interagiront avec l’audience présente dans 3 panels : « Appréhender l’économie de rupture » ; « Le devenir de l’Education, de l’emploi et du travail » et « Le devenir de l’Etat, des institutions et des administrations à l’ère digitale ».

 

A propos de la révolution numérique, thème centrale de l’évènement, Mehdi Jomâa a souligné que sa réalisation est primordiale et qu’elle est « similaire à la révolution industrielle ». Il a précisé que cette transformation numérique n’est pas seulement un enjeu technologique et qu’il faut également la transformer en une stratégie politique claire dans le but « de réconcilier le Tunisien avec son futur ».

K.H

16/03/2017 | 12:23
2 min
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Commentaires (8)

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Americano
| 16-03-2017 21:27
Y'a t-il e n tunisie des gens qui savent faire autre chose que de la politique , ouvrir un salon de thé ou un café..

bcsa
| 16-03-2017 21:24
Mehdi Jomaa connait beaucoup de magouilles qui ont eu lieu pendant la première troïka. Il va nous les dévoiler. Il a tenu tête au syndicat sur les augmentations des salaires. Il a commencé à nettoyer la fonction publique en révisant les voitures de fonction et les bons d'essences qui ne doivent pas avoir lieu dans un pays sous développé. Au Rwanda dont on commence à citer en Tunisie comme un bon exemple de progrès économique et de bonne gouvernance seul le président de la république et le président du parlement ont droit à une voiture étatique.Le Rwanda est maintenant gouverné par un dictateur éclairé. Aller demander à ce dictateur comment on devrait traiter l'exemple des terroristes qui vont revenir en Tunisie, il va vous donner la bonne solution comme il l'a fait pour son pays. Tous les terroristes qui ont contribué au grand massacre du peuple rwandais sont en train de rendre quelque chose d'utile pour leur pays .J'ai vu de mes propres yeux ces bagnards en tenue oranger travailler dans des fermes agricoles pour contribuer à l'autosuffisance alimentaire de leur pays. Les pays européens peuvent nous aider à utiliser nos terroristes tunisiens en nous donnant des aides pour créer des oasis en plein désert où les terroristes y travailleront sous le contrôle de l'armée.L'oasis de Régime Maatoug devrait servir d'exemple pour cela. Sa création est en partie due aux prisonniers politiques qui ont voulu prendre le pouvoir et faire reculer la Tunisie comme leurs partis l'ont fait après 2011.Les tunisiens ne sont pas dupes de vos sourires malicieux dans les débats télévisés. On vous croira si vous acceptez de faire marche arrière et de revenir sur les lois, les recrutements,le régime politique qui étaient la cause des échecs économiques de la Tunisie.ENNAHDHA est en train de présenter au gouvernement actuel des idées (contrat de la dignité, construction de logements populaires pour les nahdhaouis qui étaient les premiers à s'être inscrits au temps de la Troïka sur les listes des acquéreurs, autofinancement de l'Etat pour l'acquisition de logements, financement des partis,construction d'hopitaux, construction d'autoroute du centre de la Tunisie, financement des instances inutiles).Tous ces investissements sont beaux à entendre mais ne sont pas rentables et ne vont pas contribuer à la création de richesses et d'emplois pour le pays. Malheureusement, les gens de Nidaa Tounès qui sont au pouvoir ne sont pas assez intelligent pour s'apercevoir de ces pièges que Ennahdha est en train de manigancer pour l'échec de la politique du gouvernement actuel qui est connu pour être celui de Nidaa. Les parlementaires d'Ennahdha ont proposé dernièrement des lois bidons qui n'apporteront rien de concret à l'économie de la Tunisie. je propose qu'on révise les recrutements qui ont eu lieu dans la fonction publique pour ramener les salaires à 50% du budget (au lieu des 75% actuels)et que les 25% ainsi gagnés seront donnés gratuitement à ces fonctionnaires renvoyés pour créer leur propre entreprise ou projet.
Par ailleurs, beaucoup de ces recrus avaient leur projet avant la révolution. Ils ont préféré la paresse et la tranquilité de la fonction publique. Beaucoup d'entre eux ont gardés leurs anciens projets en cachette.

versus
| 16-03-2017 19:37
se prétendait une compétence comme nulle autre ailleurs pour TOTAL, qui accepte un ministère islamiste et qui fonde son parti, ne peut être qu'un imposteur, un opportuniste.

ommiaziza1912
| 16-03-2017 16:17
Un nullard qui ferait mieux de se taire? Qu a t il fait lorsqu il etait premier ministre. Il a fini le travail des deux autres nullards de la troika que je n ose meme pas nommer.

Mat,
| 16-03-2017 15:31
Face à Cheikh el Mchayekh, au Dinosaure de la politique, au loup Mohsen, au Mafieux Slim, au Baron du Non Abbassi et au fou Marzouki.....comment va t il s'en tirer???
Peut être avec l'amertume d'avoir essayé......

G&G
| 16-03-2017 14:11
la politique n'est pas un jeu d'enfant

BCE
| 16-03-2017 14:09
Game over for the Boss MEJO

Halim
| 16-03-2017 13:15
Un nouveau 0,0000 dans la longue liste...