Dernières news
Médenine : Arrestation de cinq membres d'Al Qaïda

Cinq membres d’une antenne d’Al Qaïda à Médenine ont été arrêtés ce samedi 5 décembre 2015, selon un communiqué de presse du ministère de l’Intérieur. Parmi les arrêtés figurent un jihadiste ayant suivi un entrainement militaire en Libye et un médecin impliqué, en 2012, dans une affaire de transfert de jeunes en Syrie.
Le MI indique que cette cellule a pour mission de recruter des jeunes et les envoyer, par la suite, aux camps d’Al Qaïda en Libye. Aussi, selon le communiqué, ce groupe prévoit de cibler les mausolées des saints dans la ville de Ben Guerdane. Les cinq individus sont actuellement en état d’arrestation. Ils ont été conduits devant l’unité nationale d’enquête de l’Aouina spécialisée dans les affaires de terrorisme.
sur le fil
Commentaires (3)
Commenteral kaida,elqaida,el qida,etc
| 06-12-2015 16:18
meme aux usa on ne parle presque plus d'el qaida...ils savent que c'est une foutaise et une invention de la Compagnie Internationale des Arabes..lol...lire CIA
@mon Ami JOHN WAYNE
| 06-12-2015 12:24
Bonjour John,
Je ne vais pas m'etaler dans des commentaires, je ne suis pas de votre niveau intellectuel mais en toute sincérité, je vous trouve très intéressant et, je souhaiterai un jour vous rencontrer autour d'une bonne table avec une bonne bouteille (je vous déconseille le Johnny Walker...).
Lorsque je rentrerai au pays, soit je viendrai au Bardo soit vous viendrez à Monastir...?
Cordialement.
WE
Je ne vais pas m'etaler dans des commentaires, je ne suis pas de votre niveau intellectuel mais en toute sincérité, je vous trouve très intéressant et, je souhaiterai un jour vous rencontrer autour d'une bonne table avec une bonne bouteille (je vous déconseille le Johnny Walker...).
Lorsque je rentrerai au pays, soit je viendrai au Bardo soit vous viendrez à Monastir...?
Cordialement.
WE
AMEL BOUSSAADIA OU LES COMPETENCES D'UN PAYS DE GUEUX
| 06-12-2015 05:41
Quel pays de clowns !
Décidément les Tunisiens n'ont non seulement aucune dignité, mais ils ne possèdent en eux aucun sens de la pudeur.
Comme ce Président qui a berné les masses populaires en se présentant déguisé en Bourguiba et qui dans son discours le plus récent, insinue heureux comme un Pape, qu'il a reçu un appel téléphonique de Barack Obama qui lui a tiré les oreilles.
De quoi faire sursauter le vrai Bourguiba qui de sa tombe de Monastir doit demander tous les jours à Dieu qu'une punition Divine s'abatte sur ce pays qu'il a bâti, et qu'il préfère voir détruit que recolonisé par des Cheikhs véreux du Qatar, et des diplomates Américains sionistes devenus au fil des années Moyen-Orientalistes, formation du Mossad oblige.
Que reste-t-il de la Tunisie après une révolution ou des masses féminines coiffées de torchons ont agité le drapeau Tunisien dans les rues en vociférant des insultes adressées à un Ben Ali encerclé de tanks ?
Pas grand-chose.
La banque centrale est exsangue de devises, les hôtels fermés, et les quelques touristes qui se hasardent a l'aéroport de Tunis Carthage, se précipitent la tête baissée et le visage en sueur vers le premier taxi comme s'ils voulaient s'éviter d'éventuelles rafales de Kalachnikov.
Et à propos de sueur, le clou du spectacle fut cette lamentable interview que Mohsen Marzouk accorda a un journaliste allemand vieux et chauve et qui malgré sa centaine d'années, a administré une véritable fessée intellectuelle a l'homme qui se croit fort parce qu'il a récemment serré la pince a deux agents de la CIA véreux a Washington.
L'interview en question m'a évoqué celui qu'un géant nationaliste nommé Hedi Nouira accorda un jour à une media Française et lors duquel ce Ministre de Bourguiba congédia instantanément l'effronté de journaliste qui pensait la Tunisie encore à l'ère du Protectorat.
Car c'est dans un Anglais digne de celui d'un charbonnier Tunisien que notre conseiller du palais de Carthage esquiva des salves entières de questions aussi astucieuses qu'impertinentes, en s'étranglant dans sa sueur comme s'il avait avalé de travers une olive marinée a l'huile rance de Sfax.
Ce fut un KO au premier round que notre journaliste chauve et au nez bourré de comédons fossilisés par l'âge, administra à celui qui face à BCE junior en est récemment arrivé aux mains ou devrais-je dire plutôt, aux gourdins.
« Arrêtez le massacre » fut ont tenté de crier avec cette envie pressante de jeter l'éponge afin d'éviter a notre bonhomme se tortillant sur son siège de douleur, d'avantage de coups et blessures.
Mais il y a mieux.
Comme ce discours qu'Amel Karboul prononça à Berlin dans le cadre d'un forum portant sur le secret du sous-développement des Tunisiens et lors duquel elle annonça au monde que la Tunisie était un pays aussi tolérant que l'Afghanistan.
Et à propos de coups et blessures, je garde depuis le discours de Madame Karboul de nombreuses séquelles qui m'ont valu un arrêt de travail d'une durée de plusieurs jours et des insomnies qui semblent résister au Johny Walker.
L'accoutrement, les expressions, et les va-et-vient sur le podium de Madame Karboul m'ont évoqué mes jeunes années quand le passage du sorcier Boussaâdia suscitait en nous ce mélange palpitant de curiosité et de terreur.
Depuis que j'ai vu Madame Karboul, je ne dors plus et j'ai peur la nuit dans le noir.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien élève au Collège Sadik
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Décidément les Tunisiens n'ont non seulement aucune dignité, mais ils ne possèdent en eux aucun sens de la pudeur.
Comme ce Président qui a berné les masses populaires en se présentant déguisé en Bourguiba et qui dans son discours le plus récent, insinue heureux comme un Pape, qu'il a reçu un appel téléphonique de Barack Obama qui lui a tiré les oreilles.
De quoi faire sursauter le vrai Bourguiba qui de sa tombe de Monastir doit demander tous les jours à Dieu qu'une punition Divine s'abatte sur ce pays qu'il a bâti, et qu'il préfère voir détruit que recolonisé par des Cheikhs véreux du Qatar, et des diplomates Américains sionistes devenus au fil des années Moyen-Orientalistes, formation du Mossad oblige.
Que reste-t-il de la Tunisie après une révolution ou des masses féminines coiffées de torchons ont agité le drapeau Tunisien dans les rues en vociférant des insultes adressées à un Ben Ali encerclé de tanks ?
Pas grand-chose.
La banque centrale est exsangue de devises, les hôtels fermés, et les quelques touristes qui se hasardent a l'aéroport de Tunis Carthage, se précipitent la tête baissée et le visage en sueur vers le premier taxi comme s'ils voulaient s'éviter d'éventuelles rafales de Kalachnikov.
Et à propos de sueur, le clou du spectacle fut cette lamentable interview que Mohsen Marzouk accorda a un journaliste allemand vieux et chauve et qui malgré sa centaine d'années, a administré une véritable fessée intellectuelle a l'homme qui se croit fort parce qu'il a récemment serré la pince a deux agents de la CIA véreux a Washington.
L'interview en question m'a évoqué celui qu'un géant nationaliste nommé Hedi Nouira accorda un jour à une media Française et lors duquel ce Ministre de Bourguiba congédia instantanément l'effronté de journaliste qui pensait la Tunisie encore à l'ère du Protectorat.
Car c'est dans un Anglais digne de celui d'un charbonnier Tunisien que notre conseiller du palais de Carthage esquiva des salves entières de questions aussi astucieuses qu'impertinentes, en s'étranglant dans sa sueur comme s'il avait avalé de travers une olive marinée a l'huile rance de Sfax.
Ce fut un KO au premier round que notre journaliste chauve et au nez bourré de comédons fossilisés par l'âge, administra à celui qui face à BCE junior en est récemment arrivé aux mains ou devrais-je dire plutôt, aux gourdins.
« Arrêtez le massacre » fut ont tenté de crier avec cette envie pressante de jeter l'éponge afin d'éviter a notre bonhomme se tortillant sur son siège de douleur, d'avantage de coups et blessures.
Mais il y a mieux.
Comme ce discours qu'Amel Karboul prononça à Berlin dans le cadre d'un forum portant sur le secret du sous-développement des Tunisiens et lors duquel elle annonça au monde que la Tunisie était un pays aussi tolérant que l'Afghanistan.
Et à propos de coups et blessures, je garde depuis le discours de Madame Karboul de nombreuses séquelles qui m'ont valu un arrêt de travail d'une durée de plusieurs jours et des insomnies qui semblent résister au Johny Walker.
L'accoutrement, les expressions, et les va-et-vient sur le podium de Madame Karboul m'ont évoqué mes jeunes années quand le passage du sorcier Boussaâdia suscitait en nous ce mélange palpitant de curiosité et de terreur.
Depuis que j'ai vu Madame Karboul, je ne dors plus et j'ai peur la nuit dans le noir.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien élève au Collège Sadik
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.