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L'UTICA Sfax dénonce la grève de soutien tenue dans 10 entreprises sans raisons ni préavis
27/02/2015 | 11:31
1 min
L'UTICA Sfax dénonce la grève de soutien tenue dans 10 entreprises sans raisons ni préavis

 

La section régionale de Sfax de l’UTICA a réagi, dans un communiqué parvenu ce vendredi matin 27 février 2015 à Business News et signé par son président Anouar Triki, à la grève sauvage enregistrée la veille dans 10 sociétés à Sfax sans raisons ni préavis, ces établissements n’ayant enregistré aucun litige avec les employés, outre un sit-in de protestation tenu dans le port de Sfax qui a entravé le bon déroulement du travail dans ce bien public.

 

Le patronat explique que cette grève intervient en soutien avec les employés d’une autre société laquelle vie des problèmes sociaux depuis quelques mois, exportant de ce fait un problème syndical d’une entreprise à dix autres. Il souligne que malgré ses efforts pour contacter les parties prenantes syndicales et gouvernementale pour intervenir, ne pas agrandir l’étendue de la querelle sociale, imposer le respect de la loi et préserver un minimum de stabilité dans les sociétés, il n’a pas trouvé la réactivité nécessaire pour éviter tout cela.

 

La section régionale de Sfax de l’UTICA a mis en garde contre la gravité de ce qui vient de se passer à Sfax, soulignant que ce qu’a fait l’Union régionale du Travail de Sfax contredit les principes du pacte social, peut dégrader le climat social dans la région et représente une violation de toutes les traditions du travail syndical.

I.N

 

27/02/2015 | 11:31
1 min
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Commentaires (3) Commenter
la dictature des syndicats
momo71
| 27-02-2015 12:31
tant que les syndicalistes n'arrêteront pas leur dictature, la tunisie ne se relèvera jamais
ils ont déjà fait fuire les investisseurs et ce qu'il en reste finiront par quitter le pays!!!
ce qu'il nous faut, c'est une trève sociale de 2 ans au moins, sinon c'est la faillite assurée du pays et les salaires seront diminuées obligatoirement par cessation de paiment de l'état, l'UGTT c'est le cancer généralisé du travail en tunisie
Un minimum de citoyenneté exigé.
hosni
| 27-02-2015 12:13
Le pays a besoin du travail et rien que le travail pour relancer l'économie, préserver les emplois et redonner confiance aux investisseurs tunisiens et étrangers pour lancer des projets économiques et créer des emplois pour les chômeurs. Ces grèves sauvages sont une nouvelle forme de dictature qui plongerait le pays dans l'inconnu.
GREVE: CHÔMEE ET PAYEE
MOUSKOUCHO
| 27-02-2015 11:53
J'espère que les grévistes seront payés pour la (ou les) journée (s) de grève. Ainsi les droits des non-travailleurs seront respectés, selon la mise à jour du code du travail par l'UGTT. Pauvre Tunisie !!!