Je suis d'accord avec Tabboubi. Il faut en finir avec ce pays qu'on déteste et l'orienter vers le chaos, le désordre et la famine.
Je pense que le gouvernement, vu son attitude, est d'accord que le tunisien ne mérite que sa perte.

ordure tu est main dans la main avec ce traitre de ghanouchi et sa clique de cafards (insectes)reveillez vous le peuple creve la dalle avant qu'il ne soit trop tard

Les pays au sommet du developpement et les Etats de droit interdisent expressement les greves des fonctionnaires...car logiquement ils sont au service des contribuables et de l Etat...qui leur offre une garantie a vie pour leur emploi ...et des avantages sociaux....Dernierement les enseignants en Allemagne ont depose une plainte aupres de la cour constitutionnelle pour jouir du droit de greve ..la cour a rejete la plainte et confirme l interdiction des greves des fonctionnaires... Et si la Tunisie inscrit dans sa constitution une telle loi,beaucoup de probles seront resolus...surtout dans le systeme educatif particulierement..

Les "camarades" syndicalistes de l'UGTT demeurent ds notre paysage tunisien les seuls à continuer à se présenter à la stalinienne : Les membre du Bur. pol du PCUS en tribune l'un plus muet que l'autre !! Un silence d'église !

Ya Si Ettaboubi, de nos jours, faut-il rappeler, on " défile " autrement : en panel, autour de TR, en U, autour d'agora... et depuis Covid-19 .. à distance via Zoom...
On s'accroche au dernier wagon de la modernité, tout de même chez les "companieri"...
Poverini !

Déjà que le pays est a genoux économiquement, dieu nous préserve du plan B, parce que dans vos plans c est toujours des grèves et des lignes rouges pour les sociétés qui ponctionnent des milliards pour survivre !

Qu'ils aient un minimum de courage et se transforment en parti politique..paix à ton âme Tunisie

La Tunisie s'enfonce dans un gouffre économique, politique et social, et les leaders continuent a creuser au lieu d'arrêter et d'essayer de trouver de vraies solutions. La Tunisie suit le chemin du Liban, la livre libanaise perdu 86% de sa valeur en moins de six mois, plus de 50% de libanais vivent sous le seuil de la pauvreté. La Tunisie risque le même sort que le Liban si on continue cette comédie de recrutements et d'augmentation de salaires payés par des emprunts auprès des banques internationales. A un certain moment les banques internationales vont crier stop et vont exiger le remboursement des dettes.
L'UGTT commémore l'anniversaire de la mort de Habib Achour, l'homme qui a sabote l'effort de Hedi Nouira pour moderniser le pays. L'UGTT fait partie du problème et non de la solution.
Les gouvernement et les sociétés étatiques ont un sur-effectif d'au moins 500 milles personnes mais continuent a recruter et a augmenter les salaires sous la pression de l'UGTT. Le dernier exemple nous viens de la GCT.
Le Groupe Chimique Tunisien (GCT) vient d'annoncer un concours pour le recrutement de 1641 agents. Ceux-ci vont s'ajouter au 5852 employés et agents du groupe dont les salaires annuels étaient à fin 2018 de 268 millions de dinars, soit un salaire mensuel moyen brut par agent de 3816 dinars avec des avantages. Le GCT est en faillite, ses pertes financières sont de l'ordre de 760 millions de dinars depuis 2012 avec une régression de 40% du volume de production. L'endettement du GCT est de l'ordre de 1231 millions de dinars dont 530 millions de dinars de dettes bancaires contre un capital qui ne dépasse pas 497 millions de dinars.

Nous sommes sur une autoroute vers le scénario libanais sauf que les grandes têtes du pays ne sont pas conscientes du danger, par médiocrité!

Vive la République Syndicale Tunisienne avec en tête le fameu Boucher avec un plan B !

Ah que c'est facile de dire "les autres". Tous les autres sauf l'UGTT.
Plan B: grande Manifestation à Sfax et deux jours après une autre grande Manifestation à Tunis. Miracle, Miracle, la deuxième grande Révolution Glorieuse est en marche. Ainsi on peut remplir davantage les poches de nos membres tout en faisant le maximum de grèves, le minimum d'effort, en sauvant les entreprises nationales et surtout instaurer un mode de gouvernance unique qui rapportera un deuxième prix
Nobel. Bon courage.

D'abord il faut écrire «  un simple spectateur «  ensuite le seul plan B que je connais en Tunisie c'est une entreprise de sandwich.
« Les clients n'attendent pas de vous que vous soyez parfait. Ils attendent de vous que vous remédiez à la situation lorsqu'elle tourne mal.