Le chef du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi a espéré, ce jeudi 9 janvier 2020, dans une déclaration aux médias, que les blocs parlementaires assument leurs responsabilités et présentent un gouvernement au peuple au tunisien, « afin de mettre un terme à la situation de vide actuelle » .
Rached Ghannouchi a estimé que ce vide nuit à la Tunisie et entrave ses relations et sa croissance. « Les relations étrangères de la Tunisie sont un peu bloquées à cause de l’absence d’un gouvernement. Il n’y a pas de vide sauf que les gouvernements provisoires et de gestion d’affaires courantes ont trop duré ».
Par ailleurs, il a affirmé qu’il n’y a pas de « gouvernement du président », précisant que si le gouvernement proposé n’obtient pas la confiance du parlement, le président de la République désigne la personnalité la plus apte à unir les Tunisiens et de rassembler la majorité. Il a ajouté que ce processus est conduit par le président de la République et non par le mouvement Ennahdha.
Il a, également, affirmé que le conseil de la Choura se réunira aujourd’hui pour poursuivre son évaluation du gouvernement.
S.H
Non mais, c est une catastrophe!
Un mégalomane, illuminé! Le roi, son altesse islamissime qui décréte du haut de son illustre trône " les blocs parlementaires assument leurs responsabilités et forment le.gvt! "! mais c est.toi qui les à empêché tête de c..
La dernière pirouette d' Ennahdha en cas d ' échec au vote de confiance!
Ils rejette la responsabilité sur les blocs et sur la présidence..
Est ce un signe d ' un soubresaut annonçant le début de la fin de la bête immonde..?
'?a serai génial et vivement à souhaiter!
le.ptesom.
La hantise commence à atteindre tous les esprits des députés d'Ennahdha et à leurs tête R.G......ainsi va le monde ...
Monsieur Saied, au secours, votre assemblée est un vrai cirque!
Oui la TUNISIE passe par une période vide
Comme c'est écrit sur les murs !
La séance de demain à l'assemblée risque de provoquer un séisme politique aux conséquences graves.
En effet, le processus de pourrissement de la situation reste envisageable dans la mesure où le flou a envahi une sphère politique déjà polluée.
Et à ce rythme, on peut déduire que tout le processus engagé depuis deux mois risque de tomber à l'eau et l'émergence d'une crise constitutionnelle n'est pas à exclure.
En un mot, on ne peut que déplorer une gestion du pouvoir et une gouvernance en rade mais jusqu'à quand ?
Le cirque que nous avons vécu lors de la formation de ce gouvernement n'a que trop duré.
La Tunisie souffre énormément du manque d'hommes d'état et le pays est en train de payer cher à cause de l'inconscience du peuple dans ses choix politiques.
Certes on va assumer notre destin et on n'a que ce qu'on mérite. Il faut donc arreter de pleurer et s'assurer enfin que ce qu'on vit est le pur fruit de notre de nos choix.