@AR
Tout est très bien dit. Et j'ajoute qu'il y va de même avec l'homologue de ce Zalèm Borhèn Bsaïes. L'autre Zalèm Mohamed Boughalleb, le plus grand menteur et le plus grand intrigant contre l'Islam et contre tous ceux qui se rapportent de près ou de loin à l'Islam. Ce Boughalleb qui portait un noeud papillon, pour montrer la différence entre sa modernité de Francisé et ces «arriérés indigènes musulmans islamistes d'Ennahdha», qui portent encore le Burnous tunisien. Celui que je n'ai pris vent de ses crimes médiatiques, que lorsqu'ils lui eurent écrit son nom "Boughalleb" sur un âne vivant, pour en faire le tour du Bled. Maintenant ce même Boughalleb nous pleurniche sa propre victimisation, parce qu'il est répudié presque par tous les médias tunisiens. Il faut le voir évoquer ses anciens instituteurs, les remerciant pour son gigantesque «mézouèd» de connaissances de Fdèoui, à la manière de Monsieur je-sais-tout. Il se rappelle maintenant de ses autres anciens collègues qu'il malmenait sans merci, les ayant identifiés de «islamistes». Mais hélas pour lui et pour sa mauvaise réputation, car d'aucuns des médias tunisiens n'en veulent plus de son hypocrisie des circonstances. Ce qui me plaît beaucoup dans cette histoire, c'est que Boughalleb prétend que rien ne lui échappe «mè y-fellit chaï», alors qu'en vérité, c'est que rien n'échappe au filet du président Kaïs Saïed, suivant la devise : «à malin, malin et demi».
Allah yomhil wèlè yohmil.
Bonne soirée.