Les Révolutions se perdent entre révolte et anarchie. Tous ceux qui ont, peu ou prou, compris quelles sont les fondamentaux sur lesquels reposent, l’Etat, la société, l’économie ne peuvent que se rendre à l’évidence de l’avènement d’une nouvelle révolte et son corollaire, cette fois-ci, l’anarchie. D’aucuns diront qu’encore une fois, on exagère, on fait du catastrophisme, on est pessimiste. Ces qualificatifs résonnent comme une forme de fuite qui n’est autre que l’expression de la Méthode Coué, d’un refus de voir le réel et de le traiter.