Manifestement, l’accord avec le FMI a été mal négocié. Je ne parle pas du contenu de l’accord car pour moi, il était inéluctable au vu du mauvais démarrage de la prise en charge, dès l’année 2011, des questions économiques et financières et de la marginalisation de celles-ci depuis la période de la troïka, mais de son échéancier et de ses conditions d’application. Cet accord dois-je le rappeler, fait d’abord l’objet de discussions avec l’Administration et le gouvernement pour être par la suite adopté par l’ARP.