Sans loi électorale votée par le parlement, sans observateurs étrangers, sans journalistes vraiment indépendants, sans instituts de sondages professionnels et avec un couperet judiciaire sous la gorge, on ne peut pas certifier de l’intégrité d’une élection.
Il nous propose, à nous, ces Tunisiens ronchons et qui trouvent toujours à redire, un nouveau modèle qui pourrait révolutionner la pensée de l’humanité tout entière