La nomination de deux nouveaux conseillers aux rangs de ministres a été ébruitée samedi 25 avril. Deux gros salaires et deux grosses charges qui s’invitent au pire moment, pour aggraver un peu plus la situation de nos finances publiques. Il s’agit d’Imed Hammami et d’Oussama Ben Salem, deux dirigeants islamistes proches du président d’Ennahdha Rached Ghannouchi.
Ces nominations ont-elles un quelconque caractère urgent ? Absolument aucun. Imed Hammami avait fait quelques passages au gouvernement sans grand succès. Pire, dans la crise du Kamour, il a été chargé par le chef de gouvernement de l’époque, Youssef Chahed, de mener les négociations avec les meneurs de ce mouvement social et a failli mener le pays à la catastrophe, si n’était l’intervention de dernière minute du pompier de service du gouvernement de l’époque, Mohmed Trabelsi, aidé il est vrai, par le soutien actif de la centrale syndicale.
Quant à Oussama Ben Salem, il est le fils de l’une des figures historiques du mouvement islamiste. Il est connu pour ses positions tranchées et ses accointances avec les figures de l’islam politique radical. Il est aussi le fondateur de la chaîne de télévision islamiste Zitouna TV, chaîne pirate qui profite du soutien indéfectible du parti islamiste, qui a un modèle financier des plus opaques et qui ne respecte aucune règle de la loi tunisienne sur l’audiovisuel. Le chef du gouvernement Elyes Fakhfakh qui semble faire de l’intégrité et de la transparence ses chevaux de bataille, aura tout le mal du monde pour expliquer comment il peut s’accommoder à la cohabitation, dans ses bureaux, avec un tel profil.
Les services de la présidence du gouvernement assurent que la nomination de Hammami et Ben Salem avait été décidée dans le cadre des tractations qui ont précédé la composition de ce gouvernement, en février dernier. Explication loin d’être rassurante car elle veut dire, sans ambages, que ce gouvernement est le fruit d’un âpre marchandage politique qui a eu lieu entre Fakhfakh, ceux qui composent le gouvernement actuel et ceux qui se sont retrouvés dans l’opposition, avec des clauses annoncées et d’autres gardées secrètes, à l’insu de ces Tunisiens pris pour des moutons de panurge. On comprendra aussi que laisser décanter certaines décisions prises en catimini et gagner du temps, permet au gouvernement et aux alliés politiques du moment, de mieux faire avaler les couleuvres à ces simplets de tunisiens pris, à tort pour certains, à raison pour beaucoup, pour des canards sauvages.
Mais pourquoi avoir choisi ce moment inopportun, en pleine crise du coronavirus, pour dévoiler ces nominations et mettre à nu cette clause secrète des tractations autour du gouvernement ? En vérité, ce n’était pas un choix délibéré mais c’est le déroulement du conseil des ministres tenu le 23 avril dernier qui a accéléré l’annonce de ces nominations.
L’une des décisions de ce conseil des ministres est d’élargir les compétences du ministre d’Etat chargé de la Fonction publique, de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption, Mohamed Abbou et lui accorder la supervision des différentes institutions publiques chargées du contrôle et de la gouvernance des entreprises et de la fonction publique. Mais à la surprise générale, Anouar Maârouf, ministre d’Etat des Transports et de la Logistique, s’est opposé farouchement à cette décision.
Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, Anouar Maârouf est un fidèle parmi les fidèles du chef des islamistes Rached Ghannouchi. Il s‘est cramponné au poste de ministre des nouvelles technologies, pendant des années, malgré les contestations permanentes des syndicats et au nez et à la barbe d’un pan très large de la société civile. A plusieurs reprises, les tractations pour la composition de l’actuel gouvernement ont failli capoter à cause de lui avant de lui accorder ce titre pamphlétaire de ministre d’Etat.
Son opposition à l’élargissement des prérogatives de son collègue doit être interprétée donc à plusieurs niveaux. Le premier concerne la démarche désormais spécifique du parti islamiste Ennahdha connu pour ses volte-face légendaires. Ces prérogatives, quand bien même elles ont été décidées au cours des tractations de février dernier, il serait tout bénéfice pour les islamistes de faire marche arrière et d’essayer de limiter l’influence d’un allié qui n’a cessé de leur causer des problèmes depuis les dernières élections législatives. En plus, puisqu’il s’agit de mettre en pratique une décision prise au cours des dernières tractations, autant profiter sans tarder et mettre toute la pression pour exécuter une autre décision, celle de la nomination de Hammammi et de Ben Salem, prise dans le même cadre et dans des circonstances similaires. S’il est opportun pour le parti Attayar d’augmenter son influence au sein du gouvernement, il est autant opportun pour Ennahdha de continuer de placer ses fidèles et ses hommes de confiance dans les rouages de l’administration et de l’Etat. Et au diable le Covid-19.
A un niveau plus subjectif et personnel, la réaction de Maârouf contre son collègue Abbou s’explique par le fait qu’il a dû apprécier moyennement la décision de Abbou d’ordonner une commission d’enquête sur les circonstances de l’accident de circulation dans lequel la fille du ministre du Transport serait impliquée et qui a causé des dégâts graves à une voiture de fonction mise à la disposition du ministre d’une valeur à neuf de plus de 250.000 dinars. Il est même question aujourd’hui d’ouvrir une autre enquête sur le refus de Maârouf de quitter un ancien logement de fonction qu’il occupait en tant que ministre des nouvelles technologies mais qu'il ne lui revient plus d’occuper aujourd’hui.
Cette minable nahdha a dit en direct à un de ses concurrents :
- " tu dis je dis" ; traduit de l'arabe tkoul nkoul.
Cette pauvre femme était mportée par l'émotion, et hantée par l'idée de devenir milliardaire, elle a du oublier qu'il y avait des gens qui l'écoutaient et qui la regardaient.
Cette anecdote définit en quelque sorte la mentalité de ces nahdha qui ont été tellement hypnotisés lors de leur sejour à Londres, qu'ils ont dû croire qu'en revenant de leur planque royale à londres (quoique aides par Ben Ali à se deplacer vers Londres en 2006) que La Tunisie est devenue légalement leur propriété privée acquise par le marchandage e la mise en scène du printemps arabe; alors qu'il sagissait ineluctablement d'un coup d'?tat similaires à ceux survenus sans un passé lointain, et ce dans quelques pays africains qui étaient en ce moment-là en phase de sous-developpemment prononcée semblable à celle de la Tunisie actuellement.
Ainsi vont les arnaques et les corromptions de nahdha qui ont commencé depuis leur venue en intrus et ce suite à une sinécure passée paisiblement à Londres et ce pour s'acharner sur les biens et les finances de la Tunisie comme des rapaces; et qui ne se sont pas encore rassasiés jusqu'à ce jour du 27/04/2020.
Soit neuf années de peine et de malheur en Tunisie jamais survenus depuis quinze siècles de labeurs et de réalisations.
la responsabilité concerne certains journalistes corrompus, qui ont entachés l'image de politicien patriote.
La responsabilité en revient entièrement aux électeurs, qui par leur ignorance ont voté pour des charognards.
La responsabilité revient aux politiques qui tirent partis de la situation des pauvres, tout en rejetant les échecs sur les autres,
En réalité une part de responsabilité revient à chacun, qu'on le veuille ou non
Nous, français et occidentaux en général, fermons les yeux sur l'insupportable.
Arrêtons de soutenir ces gens, laissons les couler, aidons la Tunisie à les couler, nous soutiendrons la Tunisie après, plus tard, quand la dictature islamiste aura disparu.
Toutes les élections ont été manipulées, et vous le savez. Aidons, oui, mais aidons la démocratie!
Votre silence est très inquiétant sur cette nomination un oui ou un non ferait du bien
Un peu de respect pour les Tunisiens qui n ont pas voté pour vous
Ali Larayafldh pareillement consactait tout le ministere de l'intérieur au service de nahdha et avait tous les autres ministres sous son egide tel que Anouar maaref.
Cest bien simple il ny a jamais eu de mafieux au monde plus mafieux que cette racaille de nahdha.
Et ils osent ouvrir encore leurs sales geueles leurs minables applaudisseurs pourparler de dem5ocratie, d'entreprises et de lois, ils ne se moquent pas seulement du peuple tunisien, mais ils mettent en exergue leur incommensurable
régionalisme acquis lors des indécentes réunions de cirque organiseespar nahfha er ghanniuchi a Hammamet et lors desquelles le theme principal etait daccentuer le regionalisme et dinsulter les nordistes et de les accuser de tius les maux les plus inimaginables; er dire combien coutaient comme gentaines de lilliards ces reunions dont chacullne reservaulir les meilleurse suites dans les meilleurs hotels pour les adeptes de ghanouchi ?! Et les provenances des astronomiques sommes d'argent, ainsi que celles destinées aux corruptions, restent à ce jour inconnues et certainement douteuses quant à leurs sources liées intimement aux péchés, eux ( nahdha) qui dès leur arrivée de Londres utilisaient le slogan d'avoir peur de Dieu et ce pour receuillir deja plusieurs applaudisseurs, et ce avant que Larayadh, Bhiri et les deputes de nahdha ne se lancent dans les recrutements anarchiques de leurs concitoyens sudistes, et ce dans les administrations anarchiques de Tunis la capitale, lesquels recrutements ont obligés, et oblihenr à ce jiur et dornavant, à s'endetter aupres des banques mondiales pour parvenir à la régularisation des salaires de ces recrutés fantoches pour la forme et sans aucune compétence de surcroît soit des salaires et des avantages fictifs pour achat de logements et de vehicules en plus des commodités.
C'est bien simple, il suffit de se mettre dans nimporte quelle rue du "grand" Tunis et de constater la fréquence de passage du nombre incalculable de véhicules neuves ayant à leur bord un jeune se balandant à longeuer de journee à Tunis.
Il devient évident que ce gouvernement est là pour se servir et non pour servir et nous sommes désormais obligés de prendre notre destin en mains pour nous protéger des magouilleurs et des profiteurs, car nous restons convaincus que dans une démocratie, le vrai pouvoir est entre les mains du peuple !
Bref, chaque jour il me déçoit de plus en plus. Non que je m'attendais à grand chose de la part de ce monsieur. Mais pour un soi-disant honnête social démocrate, il a bien fait d'oublier tous ses principes.
Ettakatol était en coma artificiel, depuis sa qqs semaines Fakfak a juste débranché la machine.
Il s'est juste suicide politiquement avant même d'avoir un semblant de carrière.
Et bien sûr il blâmera ensuite le cadeau empoisonné quand tout ce qu'il aurait fallu faire aurait été de refuser ce poste pour pousser à des élections anticipées qui auraient vu le retour de vrais patriotes au parlement.
Quel gâchis, juste à cause de leurs égos surdimensionnés
Encore une fois meskina tounes!
Le chef de l'ONG, un type dangereusement motivé, appelle à changer les lois pour libérer la "créativité" des ces jeunes. peu préoccupé des libertés et droits des autres. 13 jours plus tard , 24 Avril à 16h, encore par hasard, les news sur la même radio a dit que l'état avait reçu deux drones avec des camera thermiques et des microphones. Sans aller loin dans les aspects sécuritaires, pourquoi ces deux drones sont arrivés, etc... peu importe. Mais le faite de faire voler des drone sur des lieux peuplés, est lui seul une catastrophe, et illégale. Que dire alors s'ils sont équipés avec des camera thermiques et des microphones. Une seule chose à dire, que si vous continuez à être passifs, bons, et tolérants... Alors demain la situation sera pire !
Dans 20 ans vous allez découvrir toujours ahuri que Abir Moussi était dans le vrai.
A force de se prendre pour le RCD, Ennahda risque fort de subir le même sort...
On aurait au moins pu être intelligents: laisser tomber le pays jusqu'à ce qu'ils tombent, et aider la Tunisie APRES.
Mr Fakhfakh Attention au réveil des Tunisiens qui sont à bout