L’ancien porte-parole des sitinneurs d’El Kamour, Tarek Haddad a bénéficié ce mercredi 23 février 2022, du droit de réponse par rapport aux graves accusations de violences et menaces de mort envers une médecin de l’hôpital régional de Tataouine, dont il fait l’objet.
En effet pour se défendre, l’accusé déclare : « Je n’ai pas frappé la médecin, c’est elle qui m’a frappé sur l’épaule ». Dans sa brève intervention, le « rebelle de Tataouine », explique qu’il s’est rendu à l’hôpital pour une consultation sur son épaule fracturée. Seul « hic », c’est que le service d’urgence ne fait pas de consultation, mais comme son nom l’indique, gère les situations d’urgence. Une information que le présentateur, de Shems FM, n’a pas manqué de lui rappeler.
« En plus de m’avoir frappé, elle m’a filmé en me nommant : clochard d’El Kamour » a ajouté, M. Haddad tout en expliquant qu’il y a des témoins avec lui. « Le cuisinier de l’hôpital est témoin avec moi » a-t-il également dit avant de révéler que la médecin en question, n’a que « des litiges et des problèmes avec les habitants de la région ».
S.A
Dans aucun hôpital ou dispensaire du monde on rentre comme dans un moulin, et pourquoi pas dans un bloc opératoire tant qu'on y est.
La femme médecin elle plusque raison de ce défendre avec tous les moyens devant ce fou qui se croît tout permis.
Aujourd'hui la justice doit mettre fin à cette mascarade qui semble t'il dure depuis des mois.
Il ne faut s'étonner après que nos médecins et ingénieurs partent ailleurs.
Aux autorités de mettre un point à cette situation qu n'a pas lieu d'être et vite.
Sans pour autant qu'on n'omette, que sans les bactéries ou antigènes, on n'arrive pas à préparer les vaccins. Un cercle vicieux, absolument nécessaire pour l'amélioration des services hospitaliers en Tunisie.
Ce que les directeurs des hôpitaux ne le réussissent pas par le baratin disciplinaire contre des syndicalistes mafieux, qui s'unissent dans le mal et dans la destruction de la Tunisie, pourrait être ajusté par les vulgaires patients des bidonvilles. Ceux-là ne pensent pas beaucoup. Ils prennent toujours leurs affaires en mains. Non pas comme nous, les pauvres gentils du Bled, qui sourions même à nos bourreaux.
Allah yostir Tounes.
Une réaction populaire est attendue.
Le voilà policé, le verbe mesuré et oublieux de ses fantasques menaces et propos des plus violents visant même le pouvoir central.
Sa dégaine fait songer à ces acteurs de western spaghetti où il camperait avantageusement la brute ou le truand.
Les ruses de l'Histoire font des belles carrières. Qui s'achèvent en déroute quand le sort est magnanime.
Ce gars relève d'une thérapie de choc si l'on en croit ses saillies, ou bien une sanction mesurée de quelque juridiction locale en séance publique afin de le ramener à l'état qui aurait dû rester le sien, un quidam sans histoire courant derrière un avenir qui l'a déserté.
C'est en plein théâtre qu'il a joué sa pièce.
La séquence a fait son temps, place au réel et abandonnons-lui ces fantasmagories d'un être qui n'a pas fait sa mue.
'? défaut de lui suggérer de rejoindre ses "amis et frères" derrière les dunes....
Vous prenez les tunisiens pour des imbéciles
Il a une tête de Jésus. Ce regard doux , si attendrissant. Le keffieh en forme de couronne d'épines. Il suffit de le regarder pour comprendre que l'agneau de dieu ne ferait pas du mal à une mouche.
Le monde a l'envers. Un médecin agressant la bonté faite homme.
Une camisole de force et des calmants pour commencer...
N'en parlons pas de son comportement indécent et de sa....paresse puisqu'il ne veut que le ragoût froid (bouhallouk).
Qu'est-ce qu'il fait dehors à faire ses lois ? C'est la jungle