Ridha Chiheb Mekki, surnommé « Ridha Lénine », membre de la campagne explicative du projet du chef de l'Etat, Kaïs Saïed, a été présent ce mardi 22 février 2022, avec Mohamed Yousfi sur Telfza Tv, pour revenir sur son parcours politique, mais aussi sur le projet qui le liait avec le président de la République.
Après avoir passé en revue son parcours politique ayant débuté depuis sa vie estudiantine, Ridha Lénine a réaffirmé que le temps n’est plus aux partis politiques, assurant qu’il n’est plus nécessaire de passer par « un corps intermédiaire » entre le peuple et ses représentants au pouvoir. En effet, il estime que cette conception classique de la vie politique est révolue et que le temps est à l’évolution et à l’innovation.
Par ailleurs, il a affirmé que l’idée avait émergé un mois et demi après la révolution de 2011, assurant qu’il avait écrit un texte dans ce sens portant sur le retour impossible de la contre-révolution et le blocage de la révolution. Dans ce contexte, il a précisé que ce texte avait été signé par 17 militants qui appartenaient à Al Watad. « Ce texte veut rompre avec la vision classique de la démocratie parlementaire. Avec l’émergence des nouvelles technologies, les révolutions n’ont plus à être encadrées par des partis politiques. Cela aboutira à un système de gouvernance par les bases, pour une meilleure représentativité du peuple. La situation de Kaïs Saïed est inédite : il est au pouvoir alors que ses slogans sont prônés uniquement par le peuple ».
Il a ajouté que le rapprochement avec Kaïs Saïed s’était fait lorsqu’il avait lu un article publié par Kaïs Saïed qui coïncidait avec son approche politique. « Au départ, c’était un recoupement de visions, maintenant, c’est une intégration de projet ».
S.H
Est-ce de la géométrie dans l'espace, ou de la philosophie astrale.
Quant on parle du peuple, c'est un seul et unique, la Tunisie n'on compte pas des dizaines.
Le President sans un parti politique qui le soutient pour avancer les choses, tout seul il ne fera rien.
Son élection tient du miracle et tant mieux, parce que le peuple a rejeter les autres condidats gort heureusement.
Un Président s'il n'est pas soutenu par un parti fort il n'aura pas de majorité forte non plus à l'assemblée.
Il ne faut pas se masturbé le crâne Mr Lénine pour comprendre celà.
La pensée unique c'est du passé, nous sommes au 21e siècle il faudrait changé votre fusil d'épaule et vive la république.
Said Derouich
https://www.youtube.com/watch?v=SiUDMUrDJzo&list=RDSiUDMUrDJzo&start_radio=1
-Nidè Tounèss (90) qui préfère s'acoquiner avec Nahdha (69) plutôt que de gouverner avec une majorité plus faible certes,mais laissant Nahdha dans l'opposition et ce après avoir promis lors de la campagne que les 2 partis étaient comme 2 droites parallèles,ne devant jamais se rencontrer.
-Un Tourisme politique des députés vu nulle part ailleurs,élus pour un mandat de 5 ans en ayant recueilli des voix sous une étiquette donnée,ils n'ont pas honte de démissionner en cours de mandat,de changer de parti ou pire de faire un putsch comme Tahya Tounèss,parti du chef de gouvernement YC, créé à l'emporte-pièce en cours de mandat pour faire imploser NT et faisant passer Nahdha en tête des partis.
-Dans la dernière ARP surgelée,Kalb Tounèss en ayant fait les mêmes promesses électorales que NT évoquées plus haut,s'acoquine avec Nahdha (à peine 50 députés) pour conduire une majorité pour gouverner,et l'on voit des électeurs trahis voir à la TV un RG avec son sourire grimaçant annoncer que "Seuls les imbéciles ne changent pas d'avis" et un Charfeddine député KT annoncer sur un ton des plus cyniques;"Hé quoi,il y a un parti (Nahdha) arrivé premier,il faut lui fournir une majorité (Sic!)".
De plus,s'il y a une constante dans le discours de KS depuis le début,c'est qu'il ne croit pas en les partis;
Bon maintenant le problème est d'ordre éthique,peut-on prêter serment de respecter la Constitution et à la première occasion faire tomber tout l'édifice pour faire passer son projet personnel? du moins validé par un référendum?
That is the question.