Pour impliquer toutes les parties, il faut au préalable définir l'objet du débat.
Ainsi, les contours seront identifiables et le chemin plus aisé à tracer.
En second lieu, ne pas céder ni sur la forme ni sur le fond. Ce qui permettrait de couper court aux tergiversations et aux procédés dilatoires.
Enfin, une fois ces précautions posées, on décide de la durée des débats pour contenir les menées de nature à diluer les résultats jusqu à les vider de leurs contenus.
Un des bénéfices de la méthode est de barrer les imprécations des ennemis du débat, faire en sorte que les islamistes n'en sortent pas indemnes comme à leur habitude les ayant impliqués par le sceau par eux déposé en bas du document récapitulatif.
Cela satisferait les "amis" en interne et en externe et nous épargnerait tous les, beaux discours sur la séparation des pouvoirs, la démocratie et tous les poncifs du digest de la Doxa.
Nos "frères" seront mouillés.
Tout le monde aura sa part de la fête.
Et, on aurait une chance de ne plus subir massivement les attaques de tous côtés, nos bourgeois en tête, et nos élites fourvoyées ou complices.
Du moins, il est permis de l'espérer.
Mais, il y a un point indiscutable, celui de tenir la mise à l'écart des responsables de la déroute du pays, et de les juger.
Ce point pourrait figurer dans lepreambuke de la feuille de route d'un tel débat.