L’Union patriotique libre est un parti établi quelques mois après la révolution en Tunisie mais qui se débat encore pour se positionner sur l’échiquier politique national. Après avoir gagné une certaine notoriété grâce à son président Slim Riahi et à sa personnalité controversée, l'UPL est aujourd'hui sur des montagnes russes.
Elle soufflera bientôt ses 28 bougies et elle a déjà l’étoffe de l’entrepreneure accomplie. Son diplôme de Docteur en pharmacie en poche, Sélima Zaouali déchante très vite de la vie active balisée. Elle décide alors de mettre à profit ses connaissances pour lancer son propre projet, Aseptika, sa marque de produits de beauté et d’hygiène élaborés par ses propres soins.
Deux ans se sont écoulés depuis l’attentat qui a frappé un bus de la Garde présidentielle le 24 novembre 2015. Un attentat meurtrier perpétré par un terroriste de Daech en plein cœur de la capitale Tunis
Une campagne d’affichage a beaucoup fait réagir ces derniers jours. Prévues pour dénoncer les clichés sur le harcèlement et la violence contre les femmes, des affiches, placardées dans plusieurs artères de la capitale, ont plutôt produit l’effet inverse. Quoique…
Depuis 2011, aussi bien la Tunisie que la Libye ont été secoués par des révolutions plus ou moins violentes. Conséquence immédiate de l’absence de sécurité et de la précarité galopante des populations : le développement du commerce parallèle et de la contrebande entre les deux pays. C’est ce phénomène que l’Institut tunisien des études stratégiques a choisi d’explorer dans un rapport rendu public le 21 novembre 2017.
Issam Dardouri, sécuritaire controversé et président de l’Association de la Sécurité et de la Citoyenneté, a toujours suscité la polémique à travers ses déclarations incendiaires. Les dernières en date ont été faites à l’Assemblée des représentants du peuple.
Lors de sa plénière qui a eu lieu en novembre 2017, au Luxembourg, le Groupe d’action financière (« GAFI ») a émis une circulaire dans laquelle il pointe les défaillances stratégiques dans la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme en Tunisie. Qu’elles sont ces défaillances ? Et quel crédit peut-on accorder au GAFI qui place la Tunisie, la Syrie et l’Iraq dans la même liste ?
Elles s’appellent Essia, Sana, Dalenda, Dalila, Jamila, Sondos, Sana, Mbarka, Delenda, Noura, Karima, Nabiha, Kaouther, Ahlem, Sana, Imen et Sihem. Elles ont bravé la précarité, l’analphabétisme et les interdits d’une société foncièrement patriarcale pour lancer leur projet, celui de leurs rêves, une fromagerie artisanale à Sbeïtla.
Depuis le 5 juin dernier, le Qatar subit un embargo imposé par ses voisins-frères l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis et le Bahreïn. Les frontières sont fermées et les camions de marchandises ne passent plus pour alimenter les centaines de grandes surfaces du pays et ses 2,5 millions d’habitants.
Crypto-monnaie, Blockchain, Crypto-economy, autant de concepts abstraits pour certains mais qui ne devraient plus le rester longtemps. Le phénomène est, en effet, en train de déferler sur toutes les économies du monde.