Nous sommes en visite " exploratoire " dans cette contrée lointaine appelée Tunisie , et nous avons pour objectif de rencontrer les indigènes locaux afin de leur apporter un peu de civilisation , vu qu'ils ne savent même pas faire la queue ou nettoyer leurs rues !
Le chantier est donc immense mais la conquête de ce pays se fera sans anicroches , car il n'y a ni état ni patriotisme de la part des autochtones !
" Ainsi aurait pu parler notre éminente visiteuse ! "

lorsque l'on voit ce que font les Tunisiens une fois le visa en main... Délinquance, terrorisme etc. Il vaut bien mieux qu'ils travaillent à redresser leur pays que de détruire d autres avec leur islamisme sous-jacent...
Quant à l'extradition, avec la justice bananière et islamiste... Dans 20 ans peut être. En ce qui concerne les Bouazizi la poubelle de l'histoire suffit.

La dame est venue faire la bronzette et échanger quelque amabilités avec la nomenclatura locale autour de petits fours et d'un verre de champagne ( starfallah ).

On veut du concret :
- plus de visas pour les Tunisiens
- extradition de Belhassen Trabelsi
- expulsion de la famille Bouazizi

Madame la vice premier ministre, notre pays a besoin actuellement de solutions à court terme qui consistent dans l'approvisionnement de la tunisie en denrées alimentaires gratuites car le pays est actuellement en train de payer l'achat des denrées alimentaires avec des crédits contractés auprès des bailleurs de fond et qu'il devrait rembourser à court et moyen terme.Le peuple tunisien doit pouvoir manger dans le court terme. La création d'entreprises par les femmes ou les hommes vient en second lieu lorsque la crise socio-économique et alimentaire qu'est en train de vivre la Tunisie sera résorbée par les dons et les aides des pays dits amis.La Tunisie a vécu une pareille crise au début de l'indépendance. Nous avons reçu beaucoup de dons et aides de tous les pays développés qui avaient confiance dans la politique suivie par le gouvernement de Bourguiba (peu de corruption,peu de fanatisme religieux,pas d'ambitions territoriales). La Tunisie a investi tous les prêts contractés auprès des bailleurs de fonds dans des projets rentables directes et indirectes.Ceci lui a permis d'atteindre un niveau de développement appréciable. Nous sommes actuellement dans la même situation que celle des années 1960. Nous avons besoin d'aides et de dons pour faire nourrir le peuple et éviter une nouvelle révolution. Ainsi, le gouvernement pourra consacrer son temps à créer des richesses à travers des entreprises publiques ou privées. Actuellement, le gouvernement est obligé de consacrer son temps à résoudre le problème de nutrition qui est en train de s'aggraver dans le pays si ce n'est les prêts que le gouvernement a contracté depuis 2011 et qui dépassent les capacités de remboursement du gouvernement.