| 22-09-2016 10:02
La deuxième République démocratique tunisienne de régime parlementaire, possède tout un ministère de la Jeunesse et des Sports, avec toutes les infrastructures pédagogiques et politiques requises à l'échelle internationale. Les bons résultats des Tunisiens font foi.
Le parti d'Afak Tounes se prend pour malin en attirant quelques sportifs de renommée, après que le barattage du beurre est terminé par les efforts des autres. Qu'il aille dans les zones rurales et dans les régions que les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali appelaient «zones de l'ombre» et qu'il soutienne les efforts du ministère de la Jeunesse, dans ses gigantesques efforts avec le peu de moyens à ses dispositions. Mais venir voler les quelques succès du Ministères, en utilisant la crème de la crème de ses réussites pour un profit purement publicitaire, de la pire bassesse de l'égoïsme et de la tricherie politiques, ça devient une infraction contre toute éthique de la concurrence politique.
Au plus tard, lors des prochaines élections législatives, le parti d'Afak Tounes va se réveiller sur l'effet boomerang de sa mauvaise foi. Ce qu'il prend pour une ruse de succès aujourd'hui, ne s'avèrera que le pire des échecs à l'avenir.
Je parie mille parts contre une seule, avec qui en voudra parier au sujet de la faillite de toute malhonnêteté politique.
Rira bien qui rira le dernier.
Le parti d'Afak Tounes se prend pour malin en attirant quelques sportifs de renommée, après que le barattage du beurre est terminé par les efforts des autres. Qu'il aille dans les zones rurales et dans les régions que les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali appelaient «zones de l'ombre» et qu'il soutienne les efforts du ministère de la Jeunesse, dans ses gigantesques efforts avec le peu de moyens à ses dispositions. Mais venir voler les quelques succès du Ministères, en utilisant la crème de la crème de ses réussites pour un profit purement publicitaire, de la pire bassesse de l'égoïsme et de la tricherie politiques, ça devient une infraction contre toute éthique de la concurrence politique.
Au plus tard, lors des prochaines élections législatives, le parti d'Afak Tounes va se réveiller sur l'effet boomerang de sa mauvaise foi. Ce qu'il prend pour une ruse de succès aujourd'hui, ne s'avèrera que le pire des échecs à l'avenir.
Je parie mille parts contre une seule, avec qui en voudra parier au sujet de la faillite de toute malhonnêteté politique.
Rira bien qui rira le dernier.
