Dans un communiqué publié ce vendredi 28 juillet 2017, le syndicat général des médias a appelé tous les journalistes de la presse écrite à observer une grève générale et ce à cause « des promesses non tenues par le gouvernement ».
«En dépit des promesses du gouvernement pour l’application des procédures concernant la presse écrite, en particulier celles en vertu desquelles l’Etat garantit la contribution des normes en matière de sécurité sociale mais aussi les contributions publiques ainsi que l’organisation de la publicité, les promesses n’étaient pas tenues », suite à ces raisons, le syndicat général appelle les journalistes de la presse écrite à défendre leurs droits.
Dans ce même communiqué, le syndicat appelle le chef du gouvernement à prendre au sérieux le traitement de ce dossier. Il accuse également certaines parties au sein du gouvernement, à chercher à «contrôler le secteur médiatique».
W.N
Le syndicat général des médias appelle à une grève dans la presse écrite
Dans un communiqué publié ce vendredi 28 juillet 2017, le syndicat général des médias a appelé tous les journalistes de la presse écrite à observer une grève générale et ce à cause « des promesses non tenues par le gouvernement ».
«En dépit des promesses du gouvernement pour l’application des procédures concernant la presse écrite, en particulier celles en vertu desquelles l’Etat garantit la contribution des normes en matière de sécurité sociale mais aussi les contributions publiques ainsi que l’organisation de la publicité, les promesses n’étaient pas tenues », suite à ces raisons, le syndicat général appelle les journalistes de la presse écrite à défendre leurs droits.
Dans ce même communiqué, le syndicat appelle le chef du gouvernement à prendre au sérieux le traitement de ce dossier. Il accuse également certaines parties au sein du gouvernement, à chercher à «contrôler le secteur médiatique».
On peut rendre hommage aux repporters de guerre,qui prennent des risques considérables
pour nous informer,au talent des éditorialistes (rares en Tunisie ),à la ténacité des journalistes d'investigations
( moi pas connaitre ).Mais pas à ceux qui lancent des rumeurs,des fausses informations,des ragots et des nouvelles non vérifiées ou qui attendent qu'on leur
dicte ce qu'ils doivent publier.
Pour ceux qui n accepte pas de critiquer notre presse ecrite je vous prie d aller voir son classement a l echelle Africain et mondial....Notre presse ne m erite aucun respect ....elle etait tjs du cote' du pouvour,elle n etait jamais libre et courageuse
Il y a bel et bien une presse écrite en Tunisie.Arrêtez les commentaires d ingnorants ,vides et creux.Que le combat continue pour inmposer le respect.Que les partis politiques se taisent,tous confondus.Et que la marche va vers l avant.Bravo pour la décision..
Est ce que nous possedons une presse ecrite?supposons que cette greve ait lieu est ce que le citoyen va se rendre compte?je ne pense pas .Est ce que cette presse a une place dans la vie du Tunisien?je reste convaincu que notre presse va rester encore une presse de la HOnte