Le procès en appel des policiers reconnus coupables en mars 2014, dans l’affaire de viol de Myriam Ben Mohamed a été reporté au 6 novembre 2014, selon l’avocat de la victime Martin Pradel. Le procès devait avoir lieu aujourd’hui, lundi 29 septembre 2014.
Rappelons que deux des policiers en question avaient été reconnus coupables de viol, mais jugés à 7 ans de prison seulement, alors que le troisième a écopé de deux ans. Des citoyens avaient appelé à un rassemblement de soutien à Myriam Ben Mohamed, lundi 29 septembre 2014, à 9h du matin devant la Cour d’appel de Tunis. Étaient présents nombre d’activistes et des personnalités politiques.
Dans une déclaration accordée le jour même à Business News, Martin Pradel en sa qualité d’avocat de la victime et représentant la FIDH aux côtés de Mokhtar Trifi, a précisé que, suite au report de l’audience, les avocats se sont rendus au commissariat. Etaient présents, outre les susnommés, les avocates : Radhia Nasraoui, Bochra Bel Haj Hamida, Basma Belaid, Monia Bousselmi ainsi que Me Ridha Raddaoui et Emna Zahrouni, représentant la défense.
Sachant que la victime avait été convoquée à se présenter mardi 30 septembre au commissariat, Me Pradel explique : « Nous avons exigé de connaitre le motif factuel et juridique de la convocation de Myriam, mais les policiers ont refusé de nous le donner, et même de recevoir notre courrier ».
Le procès en appel des policiers reconnus coupables en mars 2014, dans l’affaire de viol de Myriam Ben Mohamed a été reporté au 6 novembre 2014, selon l’avocat de la victime Martin Pradel. Le procès devait avoir lieu aujourd’hui, lundi 29 septembre 2014.
Rappelons que deux des policiers en question avaient été reconnus coupables de viol, mais jugés à 7 ans de prison seulement, alors que le troisième a écopé de deux ans. Des citoyens avaient appelé à un rassemblement de soutien à Myriam Ben Mohamed, lundi 29 septembre 2014, à 9h du matin devant la Cour d’appel de Tunis. Étaient présents nombre d’activistes et des personnalités politiques.
Dans une déclaration accordée le jour même à Business News, Martin Pradel en sa qualité d’avocat de la victime et représentant la FIDH aux côtés de Mokhtar Trifi, a précisé que, suite au report de l’audience, les avocats se sont rendus au commissariat. Etaient présents, outre les susnommés, les avocates : Radhia Nasraoui, Bochra Bel Haj Hamida, Basma Belaid, Monia Bousselmi ainsi que Me Ridha Raddaoui et Emna Zahrouni, représentant la défense.
Sachant que la victime avait été convoquée à se présenter mardi 30 septembre au commissariat, Me Pradel explique : « Nous avons exigé de connaitre le motif factuel et juridique de la convocation de Myriam, mais les policiers ont refusé de nous le donner, et même de recevoir notre courrier ».
