Le mensonge électoral du mouvement des frères musulmans de Tunisie est légendaire.

Le gourou en personne, déscend sur l'arène, pour embobiner les pauvres bougres habitant ces quartiers de la quatrième misère...
Les "pieux" promettent et tout se réalisera.

Je rigole....Transformer le lac boueux de Séjoumi, avec ses moustiques redoutables, en un lac Léman. Qui croire?

L'Etat est incapable de boucler le budget de 2017. Celui de 2018 est déjà problématique.

Les nahdaouis tiennent absolument aux élections municipales. Ils se casseront la gueule, parce l'Etat n'a pas d'argent et les citadins ne paieront pas un kopek pour les municipalités.

Parc attractif devant la gabegie de
HAY HLAL ou tout est a l'envers le flan
Ouest de Tunis même les quartier de
Réfugiés des palestiniens sont supérieurs.
Un Hamas de yajours.
L'argent pour le lac doit servir a
Réhabiliter ce quartier de gens pauvres
Qui donne l'image la plus sinistre et
La plus dégradante,l'être humain doit
Passer avant tout et prioritaire.

Il y a un bon bout de temps, j'ai lu dans le magazine "Réalités", lorsqu'il était dirigé par le meilleur journaliste de la Tunisie, Moncef Ben M'Rad, que des rumeurs avaient circulé au sujet d'une éventuelle possession des terres de la Sabkhet Sijoumi, suivant la devise du premier venu, premier servi.
Bénis Ayar et Bénis Madjer envahissèrent la Sabkha. Des tonneaux furent implantés comme des piliers fonciers. La corde se transforma en des murailles qu'on ne pouvait accéder. Les cousins, la belle famille, les proches et même les voisins s'organisèrent pour former un quartier à eux-seuls. La cité des Béni-oui-oui devint une réalité.
Des vieux meubles furent installés et même des baignoires en plein air, illustraient la civilisation des nouveaux propriétaires. Il y eut même ceux qui vendirent leurs "propriétés" contre quelques Dinars symboliques ou l'échangèrent contre un amour interdit.
À la première pluie, il y a eu quelques intelligents qui ramassèrent leurs grabuges, tonneaux compris et quittèrent les lieux volontairement.
À la seconde pluie, rien n'allait plus. Tout flottait sur l'eau et leurs propriétaires guettaient la direction du vent dans l'espérance de récupérer ce que les eaux refoulent vers l'extérieur.
Depuis cette leçon de la nature, on entend qu'ils vont transformer Sabkhet Sijoumi en un paradis terrestre.
Du mensonge. Rien que du mensonge.
Toutefois, la question qui s'impose d'elle-même : "pouquoi ne pas faire comme avec le Lac de Tunis et se mettre d'accord avec la société saoudienne Al-Baraka, pour qu'elle assainisse Sabkhet Essijoumi comme elle le fit avec Sabkhet Gambatta?".
Intelligent ou pas intelligent ?

C'est du Blabla projet projet derrière projet et que du projet rient que du projet , on décide du projet et on retournent au projet .
Les Projets de Tabarura ça fait 10 ans on est pas encore sorti du projet , le métro de Sfax ça fait 5 ans dans le projet .
La Tunisie championne du monde dans les projets mais je conseille pas le monde à venir faire leurs études des projets chez nous.

Une grande dame compétente courtoise et intègre !!! Je la crois à 100% .

vraiment no comment; si on n'est pas parvenu ( en tant qu'autorité chargée entre autres de veiller sur l'état des routes surtout numérotées)à démolir des "Dos d'Âne sauvages" (exemple: RN Enfidha-Kairouan ou GP3), sera-t-on en mesure de réaliser un projet pareil en ces moments difficiles?

quand les poules auront des dents?

...Un endroit attractif pour les moustiques de gros calibres, les mouches et autres insectes porteurs de Choléra, dangues, fièvre jaune, Leishmaniose ...Et j'en passe...

Tiers monde... vous resterez toujours quart monde ....
Pendant ce temps, ... El Bouja le magnifique continue de claquer éperdument ses 100 millions de dinars de budget et la farce des élus de la populasse imposée par votre impériale Oncle Sam continuent à se goinfrer ... La Dame *** et consoeurs ne savent plus où stocker l'excès de graisse dans leur corps...