Dans une déclaration accordée à Shems FM, aujourd’hui, vendredi 27 décembre 2013, le conseiller principal de la présidence chargé de la communication, Mohamed Hnid, a souhaité défendre Moncef Marzouki contre les critiques qu’il s’essuie dans la presse. Dans une tentative de redorer l’image de la présidence, il a accusé les « porte-paroles des forces contre-révolutionnaires » d’orchestrer une campagne de propagande contre Moncef Marzouki.
Il affirme même que « la cote de popularité du président de la République atteint ses plus hauts niveaux aujourd’hui, selon nos propres sources statistiques ». Devant l’insistance du journaliste, M. Hnid a finit par avouer que les sources statistiques évoquées proviennent « des cafés et des quartiers populaires ». Et d’argumenter « Il suffit d’observer les images de ses récents déplacements que les médias tunisiens ne couvrent pas ».
Il ajoute même que la présidence « n’a pas, contrairement à ce que l’on veut faire croire, un bataillons de conseillers » et que si Moncef Marzouki limite les déplacements dans les régions aujourd’hui, c’est uniquement pour « des considérations sécuritaires ».
Dans une déclaration accordée à Shems FM, aujourd’hui, vendredi 27 décembre 2013, le conseiller principal de la présidence chargé de la communication, Mohamed Hnid, a souhaité défendre Moncef Marzouki contre les critiques qu’il s’essuie dans la presse. Dans une tentative de redorer l’image de la présidence, il a accusé les « porte-paroles des forces contre-révolutionnaires » d’orchestrer une campagne de propagande contre Moncef Marzouki.
Il affirme même que « la cote de popularité du président de la République atteint ses plus hauts niveaux aujourd’hui, selon nos propres sources statistiques ». Devant l’insistance du journaliste, M. Hnid a finit par avouer que les sources statistiques évoquées proviennent « des cafés et des quartiers populaires ». Et d’argumenter « Il suffit d’observer les images de ses récents déplacements que les médias tunisiens ne couvrent pas ».
Il ajoute même que la présidence « n’a pas, contrairement à ce que l’on veut faire croire, un bataillons de conseillers » et que si Moncef Marzouki limite les déplacements dans les régions aujourd’hui, c’est uniquement pour « des considérations sécuritaires ».