Restons sur les événements actuels car si on creuse un peu on va sortir les vieux dossiers qui ne sont ni en ta faveur ni en faveur de Petrofac
Le président directeur général de Petrofac, Imed Derouiche a publié, sur sa page Facebook, une longue complainte à propos de la situation de la société qu’il dirige. Ainsi, rapportant une conversation avec son fils, le PDG raconte comment son enfant est mécontent de devoir revenir vivre à Londres alors que ses amis et ses proches sont tous en Tunisie.
Ensuite, Imed Derouiche pose une série de questions en se demandant où est-ce que la société Petrofac s’est trompée :
« Est-ce que la société s’est trompée à Kerkennah ?
Est-ce qu’elle s’est trompée quand elle a fourni un scanner à l’hôpital ?
Est-ce qu’elle s’est trompée en fournissant un échographe ?
Est-ce qu’elle s’est trompée quand elle a fourni une salle d’opérations ?
Est-ce qu’elle s’est trompée quand elle a construit une presse à olives ?
Est-ce qu’elle s’est trompée quand elle a fourni des ordinateurs à toutes les écoles ?
Est-ce qu’elle s’est trompée quand elle a aidé 200 jeunes à lancer leurs projets ? »
Imed Derouiche poursuit sa complainte en se demandant s’il faut laisser le pays, et finit par admettre qu’il devra quitter le pays avec sa famille.
M.A
Commentaires (56)
CommenterHypocrite
Restons sur les événements actuels car si on creuse un peu on va sortir les vieux dossiers qui ne sont ni en ta faveur ni en faveur de Petrofac
More than enough
Nous ne voulons pas de démocratie
Poulpes
Leave the boat it s sinking
La rue qui prend le pouvoir....
c'est peut etre vrais mais ???
Partez
@ Letranger| 22-09-2016 17:03
J'ai répondu à la question ?))
Vous voyez comme ces sous-entendus, sont vexant, une agression gratuite,vous n'êtes pas obligé de renseigner, il y en a d'autre sans méchanceté ni insulte.Que doi-je vous répondre ?ma sagesse m'ordonne de vous dire merci. (Manai)
@ Kairouan| 22-09-2016 11:49 "Imen"
La décision de la fermeture était programmée de belle lurette, les Anglais sont pragmatiques, l'etat d'âme est loin d'effleurer leur subconscient, le rouleau compresseur une fois déclenché, rien ne puisse l'arrêter !
Imen ou Kairouan si vous préférez, nos gouvernants n'ont pas de marge suffisante pour prendre des décisions courageuses, bridés par ce manque de légitimité "parti au pouvoir bancal, associé aux Nahdahoui n'arrange pas la quiétude de grand nombre de Tunisiens, beaucoup de tergiversations, hehitations,pas de coudées franches, comme un nageur peureux qui se balbute dans l'eau sans pouvoir avancer !
Nos partis politiques n'ont pas encore ce sens du devoir et l'intérêt National avant tout,ce gène n'est pas encore d'actualité, ils se battent comme des chiffonniers !
La politique ne la connaisse pas ou pas assez et encore moins l'intérêt de leur pays,attendons un autre scrutins législatif,où le peuple aura fait son choix et les eaux troubles seraient décantées,les visions claires là on peut prétendre à un retour à une stabilité et des décisions où l'État Tunisie verra le bout du tunnel. Mes amitiés "Imen" (Manai)