Je viens encore de signaler un message par erreur, a cause de mon gros doigt sur le petit écran du smartphone!
Excusez moi, bonnes fêtes à vous tous!
B.N : Merci d'avoir attiré notre attention, bonnes fêtes à vous aussi :)
Le ministre de l'Intérieur de Rhénanie du Nord-Westphalie (Allemagne), a accusé, ce mercredi 21 décembre 2016, la Tunisie d'avoir sciemment retardé l'expulsion du suspect de l'attentat de Berlin, Anis Amri, après que sa demande d'asile avait été rejetée en juin, affirmant que « Tunis avait longtemps prétendu que l'homme n'était pas Tunisien ».
Le ministre de l'Intérieur de Rhénanie du Nord-Westphalie, Ralf Jäger, dont les services étaient responsables d’organiser l'expulsion, a affirmé qu’en juin 2016, la demande d'asile du suspect de l'attentat de Berlin a été refusée par l'Office fédéral pour la migration et les réfugiés.
Il a précisé, dans une déclaration relayée par l’AFP, que l’homme n'a pas pu être expulsé car il n'avait pas de document d'identité en règle.
«La procédure d'établissement d'un document tenant lieu de passeport» tunisien, pour permettre son retour dans son pays, a été engagée en août, «mais la Tunisie a disputé le fait que cette personne soit l'un de ses ressortissants et les documents nécessaires n'ont pendant longtemps pas été établis», a-t-il poursuivi, selon la même source.
« Finalement et comme par coïncidence, ce document de voyage émis par la Tunisie est arrivé aujourd'hui en Allemagne » a expliqué le ministre.
Du côté tunisien, une source bien informée nous explique qu’en aucun cas les autorités tunisiennes n’ont été rendues responsables dans le dossier de Anis Amri. Selon notre source, Amri était fiché chez les services allemands qui avaient toutes les informations le concernant. L’homme devait être expulsé en 2013, avant que son expulsion ne soit annulée par les autorités allemandes.
Les Allemands auraient, par ailleurs, uniquement pris contact avec les autorités tunisiennes afin d’avoir des informations concernant Anis Amri.
Le ministre de l'Intérieur de Rhénanie du Nord-Westphalie (Allemagne), a accusé, ce mercredi 21 décembre 2016, la Tunisie d'avoir sciemment retardé l'expulsion du suspect de l'attentat de Berlin, Anis Amri, après que sa demande d'asile avait été rejetée en juin, affirmant que « Tunis avait longtemps prétendu que l'homme n'était pas Tunisien ».
Le ministre de l'Intérieur de Rhénanie du Nord-Westphalie, Ralf Jäger, dont les services étaient responsables d’organiser l'expulsion, a affirmé qu’en juin 2016, la demande d'asile du suspect de l'attentat de Berlin a été refusée par l'Office fédéral pour la migration et les réfugiés.
Il a précisé, dans une déclaration relayée par l’AFP, que l’homme n'a pas pu être expulsé car il n'avait pas de document d'identité en règle.
«La procédure d'établissement d'un document tenant lieu de passeport» tunisien, pour permettre son retour dans son pays, a été engagée en août, «mais la Tunisie a disputé le fait que cette personne soit l'un de ses ressortissants et les documents nécessaires n'ont pendant longtemps pas été établis», a-t-il poursuivi, selon la même source.
« Finalement et comme par coïncidence, ce document de voyage émis par la Tunisie est arrivé aujourd'hui en Allemagne » a expliqué le ministre.
Du côté tunisien, une source bien informée nous explique qu’en aucun cas les autorités tunisiennes n’ont été rendues responsables dans le dossier de Anis Amri. Selon notre source, Amri était fiché chez les services allemands qui avaient toutes les informations le concernant. L’homme devait être expulsé en 2013, avant que son expulsion ne soit annulée par les autorités allemandes.
Les Allemands auraient, par ailleurs, uniquement pris contact avec les autorités tunisiennes afin d’avoir des informations concernant Anis Amri.