L’ancien ministre et membre de Nidaa Tounes, Khaled Chouket, est intervenu ce jeudi 12 octobre 2017, dans Midi Show sur Mosaïque FM où il a essentiellement parlé de l’article paru sur le journal Achourouk, dans lequel il dénigre Saïda Garrache, porte-parole de la présidence de la République.
« Ma méthodologie veut que je n’évoque jamais de nom lorsque je m’exprime en public mais lorsqu’on parle de moi de manière indécente, je ne me tais pas ! » a-t-il déclaré. « Saïda Garrache n’a pas juste plaisanté en évoquant mon nom ! » a dit M. Chouket.
Il s’est ensuite lancé dans une diatribe visant l’animateur de l’émission, Boubaker Ben Akecha en l’accusant de non professionnalisme surtout concernant son livre. Ce à quoi l’animateur a répondu en disant qu’il n’avait pas de leçon à recevoir de que Khaled Chouket n’était pas assez qualifié pour évaluer le travail journalistique. Ce dernier s’est énervé et a évoqué sa carrière en tant que journaliste qui lui permettrait, selon lui, de donner des leçons. Boubaker Ben Akecha a rétorqué que cette carrière se résume à la production de documentaires rémunérés.
S.A
Commentaires (10)
CommenterLA TUNISIE a besoin de responsables politiques bosseurs et créatifs
Un pauvre imbus de sa personne
Les médiocres se bouffent le nez !!
Une formation inappropriée et une mentalité opportuniste y sont pour quelque chose.
25 ans de journalisme mr chouket !!
( il a prétendu être assis sur une chaise pendant 6 heures )
Le naturel revient au galop : cet ancien nahdhaoui, Kh. Chouket avec son look de proxénète, est resté violent
trop d'engueulades
il est mieux a mon avis laisser l'invité parler et lui faire ensuite remarquer qu'il n'a pas repondu a la question,ou qu'il a utilisé la langue de bois....
je ne suis pas un professeur de journalisme , mais je sais ce que je ne veux pas entendre..
je ne suis pas un supporter de monsieur chouket pour lequel je n'ai pas beaucoup d'estime.
jusqu'ici j'etais un fervent supporter de midi show mais peut etre qu'a l'avenir je me contenterai de la premiere heure.
Seuls les nuls dévient le sujet de la discussion vers les insultes et l'arrogance bidon.
Que ceux qui ne comprennent pas ce que c'est que le titre de doctorat. Au début, c'est l'accès à la branche de médecine qui est la plus difficile, vu le score élevé requis à la réussite du baccalauréat. Puis encore tenir bon en première et en deuxième année si les pistons vous manquent. Par la suite, c'est des stages et des micmacs d'argent de main en main, pour remplacer les fainéants de nuits. Au Résidanat, tout bidon se sent Ibnou Sina (Avicenne) ou Louis Pasteur en personne. Puis vient l'incertitude, les gaffes et l'apprentissage de «Lahjèma fi rious Leytèma» dans la pratique. Tout le reste, nous le vivons chacun de son côté.
Quant aux autres doctorats dans tous les domaines, une fois le DEA (Diplôme d'Etudes Approfondies) arraché, on peut travailler et gagner son pain «gras» en prétendant préparer sa thèse pour des années. Tout le reste n'est qu'entrevues et souvent du plagiat. L'encadreur en a marre et le jury cherche une date et un accord mitigé. C'est tout.
A peine le titre académique arraché, ces poules d'antan, se transforment en de coqs de bruyère à la manière de ce Khaled Chouket, qui s'est transformé en le Maître des Maîtres de Boubaker Ben Akecha. Il ne lui manque encore que de lui dire : «ènè rabboukom el aâla» (Astaghfir Allah).
Ces vrais nullards de la jungle humaine, oublient tout simplement, que seule l'humilité illustre les Grands et les génies, et seuls le vacarme et le tambourinement prouvent le vide, le concave et le vacuum dans l'être humain.
J'encourage Boubaker à ne plus donner de l'importance aux langages des bidons, car ils sont plus proches de l'insulte que de la discussion.
Le culotté déculotté
Ouf, je suis soulagé!