mais si Hamma lui meme un rassiste arabe par exelence n'a rien avoir de Tennis ni de la democratie
Hamma UN NAHDAOUI AUSSI
NI BCE
NI LE CHEICH RACHED GHANNOUCHI
NI HAMMA NI TOUS ONT DES SOLUTIONS
DEGAGER VS
Le porte-parole du Front populaire, Hamma Hammami, est revenu, ce mercredi 20 septembre 2017, sur la polémique suscitée par les propos tenus, à son encontre, par le président de la République dans l’interview donnée lundi à Sofien Ben Farhat.
« Le président, qui se dit Bourguibien, doit se rappeler que le terme « Fessak » [ndlr : terme en arabe littéraire qui revêt de nombreux sens, tous attribués à une personne dénuée de morale ou opportuniste] a été utilisé par les destouriens à l’encontre de Bourguiba quand il avait créé le néo-destour » a précisé Hamma Hammami, ajoutant que celui-ci avait alors récité un verset du coran signifiant sa volonté de continuer à « travailler » malgré les pressions.
« Je ne cherche là qu’à rafraîchir la mémoire du président et lui rappeler l’histoire. Nous au FP, nous ne voulons pas transformer les différends politiques en conflits personnels. Nous avons une culture démocratique, alors que le chef de l’Etat ne l’a pas, lui, qui a toujours connu la culture de la tyrannie » a souligné Hamma Hammami.
Le leader de la gauche a poursuivi en accusant le président de vouloir gouverner seul et a exprimé sa stupéfaction de le voir se plaindre des médias qui lui offrent l’occasion de s’exprimer : « Lui et son entourage ne supportent pas la liberté de la presse.
« Un président doit respecter la constitution, l’opposition, les députés et ses adversaires politiques. Il doit aussi assumer sa responsabilité dans la moralisation du discours politique et dans l’élévation du niveau de ce discours sans tomber dans l’instrumentalisation de la religion dans les conflits politiques. Cela n’est qu’une preuve de son impuissance à affronter politiquement le Front populaire sur ses programmes et ses positions » a-t-il conclu.
M.B.Z
Le porte-parole du Front populaire, Hamma Hammami, est revenu, ce mercredi 20 septembre 2017, sur la polémique suscitée par les propos tenus, à son encontre, par le président de la République dans l’interview donnée lundi à Sofien Ben Farhat.
« Le président, qui se dit Bourguibien, doit se rappeler que le terme « Fessak » [ndlr : terme en arabe littéraire qui revêt de nombreux sens, tous attribués à une personne dénuée de morale ou opportuniste] a été utilisé par les destouriens à l’encontre de Bourguiba quand il avait créé le néo-destour » a précisé Hamma Hammami, ajoutant que celui-ci avait alors récité un verset du coran signifiant sa volonté de continuer à « travailler » malgré les pressions.
« Je ne cherche là qu’à rafraîchir la mémoire du président et lui rappeler l’histoire. Nous au FP, nous ne voulons pas transformer les différends politiques en conflits personnels. Nous avons une culture démocratique, alors que le chef de l’Etat ne l’a pas, lui, qui a toujours connu la culture de la tyrannie » a souligné Hamma Hammami.
Le leader de la gauche a poursuivi en accusant le président de vouloir gouverner seul et a exprimé sa stupéfaction de le voir se plaindre des médias qui lui offrent l’occasion de s’exprimer : « Lui et son entourage ne supportent pas la liberté de la presse.
« Un président doit respecter la constitution, l’opposition, les députés et ses adversaires politiques. Il doit aussi assumer sa responsabilité dans la moralisation du discours politique et dans l’élévation du niveau de ce discours sans tomber dans l’instrumentalisation de la religion dans les conflits politiques. Cela n’est qu’une preuve de son impuissance à affronter politiquement le Front populaire sur ses programmes et ses positions » a-t-il conclu.
M.B.Z