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Samir Ben Amor: le principe de séparation des pouvoirs est dépassé ! (vidéo)
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Lors de son intervention à la séance plénière d'aujourd'hui 5 avril 2013, l'élu à l'ANC du CPR Samir Ben Amor, s'est exprimé sur le principe de séparation des pouvoirs et ce, dans le cadre de la discussion du projet de loi sur l’Instance provisoire de la magistrature.
M. Ben Amor a affirmé: "A ceux qui continuent à défendre le principe de séparation des pouvoirs, je dis, la loi constitutionnelle a évolué! Aujourd'hui, aucun pays dans le monde ne le respecte!".
M. Ben Amor a même ajouté que "dans notre nouvelle Constitution, en cours de préparation, il n'y a pas de séparation entre les différents pouvoirs". Il a précisé que les exemples sont multiples et que le pouvoir politique est souvent intervenu dans ce genre d'Instance. "Dans plusieurs pays, le président de la République ou le ministre de la Justice peut, soit présider cette Instance, soit en faire partie" a-t-il soutenu.
Par ailleurs, Samir Ben Amor a ajouté que cette immiscion du pouvoir politique dans le pouvoir judiciaire n'est pas l'apanage de ce projet de loi et ne se contredit nullement avec les normes internationales. Il est même arrivé à dire que :"Dans le conseil consultatif des magistrats européens, il est même recommandé d'intégrer des membres autres que les magistrats, choisis par le parlement".
Ainsi, si M.Ben Amor, semble persuadé qu'il est tout à fait normal que les différents pouvoirs s'entremêlent et se confondent, évoquer l'indépendance de la Justice s'avère alors pour lui inutile et révolu.
M. Ben Amor a affirmé: "A ceux qui continuent à défendre le principe de séparation des pouvoirs, je dis, la loi constitutionnelle a évolué! Aujourd'hui, aucun pays dans le monde ne le respecte!".
M. Ben Amor a même ajouté que "dans notre nouvelle Constitution, en cours de préparation, il n'y a pas de séparation entre les différents pouvoirs". Il a précisé que les exemples sont multiples et que le pouvoir politique est souvent intervenu dans ce genre d'Instance. "Dans plusieurs pays, le président de la République ou le ministre de la Justice peut, soit présider cette Instance, soit en faire partie" a-t-il soutenu.
Par ailleurs, Samir Ben Amor a ajouté que cette immiscion du pouvoir politique dans le pouvoir judiciaire n'est pas l'apanage de ce projet de loi et ne se contredit nullement avec les normes internationales. Il est même arrivé à dire que :"Dans le conseil consultatif des magistrats européens, il est même recommandé d'intégrer des membres autres que les magistrats, choisis par le parlement".
Ainsi, si M.Ben Amor, semble persuadé qu'il est tout à fait normal que les différents pouvoirs s'entremêlent et se confondent, évoquer l'indépendance de la Justice s'avère alors pour lui inutile et révolu.
D.M
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