Le Front de salut national a organisé, dimanche 12 mai 2024, une manifestation dans le centre-ville de Tunis. La manifestation s’est mise en marche du Passage pour arriver sur les marches du Théâtre municipal et avait pour slogan principal : « Le mandat est fini…où sont les élections ? ».
Plusieurs figures du front, dont certains membres sont actuellement en prison, étaient présents, notamment Samir Dilou, Ahmed Nejib Chebbi, Abdellatif Mekki ou encore Ajmi Lourimi.
Les manifestants ont appelé à ce que la date de l’élection présidentielle soit annoncée dans les plus brefs délais et pour des conditions transparentes et équitables. Ils ont également scandé des slogans contre « le coup d’Etat » et pour la libération de tous les prisonniers d’opinion et politiques.
Qu'ils quittent la vie politique, et la tunisien sera bien meilleure
Parce qu'à y regarder de près, on serait surpris de voir ensemble les recrues islamistes pur jus main dans la main avec des personnages présentés ou se prétendant vertueux démocrates et j'en oublie des qualités tant le tableau affiche le plein.
Mais, quel est l'objectif?
La surprise se révèle une farce, car on nous décrivait cet aréopage qui se dégarnir quelque peu au fur et à mesure que le temps passe, sous l'apparence d'un rassemblement de militants dont nul ne s'aviserait à disputer le titre que la situation du pays inquiète. Et le voici presque uniquement préoccupé par la prochaine échéance électorale, et déjà oise les conditions, peaufine sa stratégie afin de configurer le profil du leader en mesure de l'incarner avec le secret espoir de voir Carthage se rendre sans combattre.
Comme c'est dérisoire et transparent, et manque surtout d'intelligence puisque l'affaire s'est ébruitée que le loup est dans la bergerie.
Ainsi, il sera dit que l'on nous revendra pas sous un autre emballage un produit déjà testé et que le client n'a pas apprécié.
Alors, Najib et ses amis, du barbu jusqu'au nouveau prophète de la démocratie en seront pour leurs frais.
J'avais osé faire le pari que la Russie ne se laissera pas mettre à terre.
J'ose tenir ce matin concernant notre équipée lourdement lestée et qui aura peine à tenir sur la longueur.
Avec des amis encombrants, le passif d'avoir manqué à ses convictions, une errance politicienne qui vous fait perdre le nord quand on est au sud.
Mais, il est bien connu que nul n'est prophète en son pays.
Le front du salut :c'est Ennahdha.
Le tunisien est une girouette et a la mémoire courte .Il faut empêcher à tout prix les frérots '?' de ressusciter.
Il tuerait, père, mère et toute sa descendance pour quelques dinars.
Que dire alors, s'il s'agit de trahir la NATION.
C'est ce à quoi, Kaissoune mène un guerre sans pitié aucune !!!!!!
OUI au changement de ce régime selon des élections libres et qui est devenu inapte à gérer le pays mais NON au retour de la secte de Khwenjis à l'origine de cette situation et qui essaye de se refaire une santé !
La Tunisie et les Tunisiens sont impossibles à dompter par les armes à feu ni par les injustices. Un cercle vicieux que les Tunisiens devront quitter le plus tôt possible et à jamais.
Allah yostir Tounes.
Malgré les dépassements de Markhouf et Khiary, il y avait des lignes rouges que les islamistes n'ont jamais osé franchir. La liberté d'expression était garantie, jamais un journaliste n'a été arrêté et séquestré pour son opinion. Il y avait des institutions, certes malades, mais fonctionnelles.
Ce que je retiens de la manifestation d'aujourd'hui: ir7al ya fachil, plein dans le mille. Il faudra garder ce slogan et le diffuser viralement.