Bsaïes, toujours en manque d'arguments probants, ne trouve pas mieux, pour réagir contre les accusations de Akremi le visant que de lui attribuer le comportement de "bassesse", d'"impolitesse", de "diffamation": l'insulte envers un frère es basses man'uvres et amateur, comme lui, de retournement de veste!...
Est-il encore utile de rappeler la merveilleuse carrière de Bsaïes sous le règne de ben Ali, sa ténacité, aujourd'hui encore, de faire l'éloge de ben Ali et du RCD? A savoir que Bsaïes, du temps de ben Ali, ne cessait 'écrire des articles élogieux à la gloire de son président, tout comme Akremi, à la même époque...
Enfin, il est bon de rappeler qu'en 2013, Borhène Bsaïes dans le cadre de l'affaire Sotetel, est accusé d'usage de son statut pour l'acquisition de profits pour lui et pour des proches ainsi que pour mauvaise gestion administrative et ce, conformément à l'article 96 du code pénal.
Au mois de juin 2013, Borhane Bsaies avait été libéré contre le paiement d'une caution d'environ deux cent mille dinars. ( cf Réalités du 07/07/2017 ) Et selon le même journal, à cette même date, le procès de Bsaaîes dans cette affaire a été reportée... Jusqu'à quand? Mystère....Et comme dit Bsaîes : "« Quoi qu'il en soit, notre point de vue à Nidaa Tounes est que le moment est mal choisi pour parler de rendement." (sic) Quel rendement? Celui de la justice, ou celui de l'honnêteté et de la persévérance de dévoiler la vérité vraie?...
Enfin, qui, de Akremi ou Bsaïes, va décrocher le ponpon et de maquiller ou pervertir définitivement son passé sombre et condamnable? On attend la suite.