Je dis merci à ces dames de lettres, elles donnent de l'espoir : démissionner pour le Livre.
Courage à ceux qui continuent à croire encore.. Le chemin est long (et fort périlleux...)
L’universitaire Héla Ouardi, a annoncé qu’elle délaisse ses fonctions à la tête de la direction générale du Livre, lors d’une conférence de presse tenue, mardi 21 novembre 2017, après avoir dénoncé une suspicion de corruption, ignorée par le ministère des Affaires culturelles
Par ailleurs, Maya Ksouri, également présente à la conférence, a présenté sa démission de son poste de présidente la commission technique consultative des livres tunisiens, et ce pour les mêmes raisons que Mme. Ouardi.
Lors de cette conférence, Héla Ouardi a affirmé qu’un éditeur avait falsifié la signature d’un écrivain pour bénéficier d’une subvention. En se rendant compte de la fraude, elle a contacté le ministre des Affaires culturelles pour lui faire part de la suspicion de corruption et lui a proposé de tenir une réunion le 17 novembre pour alerter les services concernés. Or, elle a indiqué, que le ministre l’a appelé un jour avant la réunion, pour lui signifier l’annulation de la réunion sous prétexte que l’éditeur en question était furieux, et réfutait les accusations portées à son encontre.
Notons, par ailleurs, que le ministère des Affaires Culturelles avait annoncé le vendredi 17 novembre 2017, dans un communiqué la désignation de Nizar Ben Saad à la tête de la direction générale du Livre, en remplacement de Hela Ouardi.
S.H
L’universitaire Héla Ouardi, a annoncé qu’elle délaisse ses fonctions à la tête de la direction générale du Livre, lors d’une conférence de presse tenue, mardi 21 novembre 2017, après avoir dénoncé une suspicion de corruption, ignorée par le ministère des Affaires culturelles
Par ailleurs, Maya Ksouri, également présente à la conférence, a présenté sa démission de son poste de présidente la commission technique consultative des livres tunisiens, et ce pour les mêmes raisons que Mme. Ouardi.
Lors de cette conférence, Héla Ouardi a affirmé qu’un éditeur avait falsifié la signature d’un écrivain pour bénéficier d’une subvention. En se rendant compte de la fraude, elle a contacté le ministre des Affaires culturelles pour lui faire part de la suspicion de corruption et lui a proposé de tenir une réunion le 17 novembre pour alerter les services concernés. Or, elle a indiqué, que le ministre l’a appelé un jour avant la réunion, pour lui signifier l’annulation de la réunion sous prétexte que l’éditeur en question était furieux, et réfutait les accusations portées à son encontre.
Notons, par ailleurs, que le ministère des Affaires Culturelles avait annoncé le vendredi 17 novembre 2017, dans un communiqué la désignation de Nizar Ben Saad à la tête de la direction générale du Livre, en remplacement de Hela Ouardi.
S.H