Tous des loosers, sur ces plateaux, qui ressurgissent comme par enchantement.
Et Un nouveau parti pour Monsieur, alors qu' il vient fraîchement de mordre la poussière.
Des revenants durs De la comprenette
C'est MDR
La nouvelle émission présentée par Sofiene Ben Hamida « En tête à tête avec Sofiene Ben Hamida » diffusée en direct sur Nessma TV avait pour invité de ce vendredi 20 janvier 2017 Ahmed Néjib Chebbi. Il a commenté le travail gouvernemental de Youssef Chahed et donné des précisions sur le lancement de son nouveau parti : Le Parti démocrate.
L’ancien chef du parti Al Jomhouri a ainsi annoncé le lancement imminent de son nouveau parti, indiquant que « Si la politique est une question d’ambition personnelle et de course vers le pouvoir alors que la politique aille au diable ! Dans ce cas ce n’est pas pour moi ».
Ahmed Néjib Chebbi a également ajouté que la veille, il avait regardé les débats politiques français tournant autour des primaires, commentant le niveau de ces débats il a déclaré : « Si en Tunisie nous pouvions atteindre ce niveau ce serait excellent ».
A propos de la situation sécuritaire du pays, M. Chebbi a indiqué qu’en 2015, les militaires et sécuritaires étaient plutôt dans une attitude de défense et qu’aujourd’hui, ils sont plus dans l’offensive car il y a une meilleure maitrise de la situation. Ajoutant que : « Maintenant, les menaces viennent de l’extérieur et cela est visible avec la question du retour des terroristes. Ce sujet prouve qu’il y a une crise de confiance dans le pays à 2 niveaux : le premier niveau concerne les commanditaires des départs vers les foyers de tension et le deuxième niveau concerne la peur de voir se créer un Guantanamo Tunisien ». Il est également revenu sur l’article 25 de la Constitution qui stipule que personne ne peut être empêché de revenir dans son pays ni être déchu de sa nationalité. Il faut donc, selon Ahmed Néjib Chebbi, poursuivre ces personnes en vertu du principe constitutionnel de la légalité des délits et des peines. Une collaboration entre les Etats sur la question terroriste et un retour des relations diplomatiques avec la Syrie sont également, selon M. Chebbi, d’impérieuses nécessités.
A propos du gouvernement en place, l’homme politique a déclaré : « La production gouvernementale n’est pas suffisante mais je ne m’oppose pas à ce gouvernement. Par ailleurs, je voudrais saluer l’équipe gouvernementale pour la réussite de la conférence Tunisia 2020 et rendre hommage à Fadhel Abdelkefi pour le travail réalisé. Maintenant, les promesses financières doivent suivre sinon cela n’aura servi à rien ». Il a renchéri : « Les citoyens sont lassés du changement des gouvernements, les énergies se dispersent et l’émulation est inexistante. Les ministres sont d’ailleurs plus dans le travail administratif que dans le travail politique ».
K.H
La nouvelle émission présentée par Sofiene Ben Hamida « En tête à tête avec Sofiene Ben Hamida » diffusée en direct sur Nessma TV avait pour invité de ce vendredi 20 janvier 2017 Ahmed Néjib Chebbi. Il a commenté le travail gouvernemental de Youssef Chahed et donné des précisions sur le lancement de son nouveau parti : Le Parti démocrate.
L’ancien chef du parti Al Jomhouri a ainsi annoncé le lancement imminent de son nouveau parti, indiquant que « Si la politique est une question d’ambition personnelle et de course vers le pouvoir alors que la politique aille au diable ! Dans ce cas ce n’est pas pour moi ».
Ahmed Néjib Chebbi a également ajouté que la veille, il avait regardé les débats politiques français tournant autour des primaires, commentant le niveau de ces débats il a déclaré : « Si en Tunisie nous pouvions atteindre ce niveau ce serait excellent ».
A propos de la situation sécuritaire du pays, M. Chebbi a indiqué qu’en 2015, les militaires et sécuritaires étaient plutôt dans une attitude de défense et qu’aujourd’hui, ils sont plus dans l’offensive car il y a une meilleure maitrise de la situation. Ajoutant que : « Maintenant, les menaces viennent de l’extérieur et cela est visible avec la question du retour des terroristes. Ce sujet prouve qu’il y a une crise de confiance dans le pays à 2 niveaux : le premier niveau concerne les commanditaires des départs vers les foyers de tension et le deuxième niveau concerne la peur de voir se créer un Guantanamo Tunisien ». Il est également revenu sur l’article 25 de la Constitution qui stipule que personne ne peut être empêché de revenir dans son pays ni être déchu de sa nationalité. Il faut donc, selon Ahmed Néjib Chebbi, poursuivre ces personnes en vertu du principe constitutionnel de la légalité des délits et des peines. Une collaboration entre les Etats sur la question terroriste et un retour des relations diplomatiques avec la Syrie sont également, selon M. Chebbi, d’impérieuses nécessités.
A propos du gouvernement en place, l’homme politique a déclaré : « La production gouvernementale n’est pas suffisante mais je ne m’oppose pas à ce gouvernement. Par ailleurs, je voudrais saluer l’équipe gouvernementale pour la réussite de la conférence Tunisia 2020 et rendre hommage à Fadhel Abdelkefi pour le travail réalisé. Maintenant, les promesses financières doivent suivre sinon cela n’aura servi à rien ». Il a renchéri : « Les citoyens sont lassés du changement des gouvernements, les énergies se dispersent et l’émulation est inexistante. Les ministres sont d’ailleurs plus dans le travail administratif que dans le travail politique ».
K.H