alexametrics
vendredi 01 novembre 2024
Heure de Tunis : 00:05
Dernières news
Mehdi Jomâa effectue une visite de travail aux États-Unis
13/09/2017 | 14:42
1 min
Mehdi Jomâa effectue une visite de travail aux États-Unis

Le président du parti Al Badil Ettounsi, Mehdi Jomâa, effectue jusqu’au lundi 18 septembre 2017, une visite de travail aux États-Unis d'Amérique. Pendant son séjour à Washington, l'ancien chef du gouvernement rencontrera un certain nombre de personnalités politiques et économiques à l’instar du président de Carnegie Endowment for International Peace, William Joseph Burns avec qui il discutera de la nécessité d'un soutien supplémentaire pour que la Tunisie réussisse sa transition démocratique.

 

Un communiqué du parti, indique ce mercredi 13 septembre 2017, que M. Jomâa participera au Forum sur la démocratie et la sécurité organisé par Brookings Institution, où sera présenté le rapport final de la Communauté des démocraties, co-présidé par lui-même et par l'ancienne secrétaire d'État américaine Madeleine Albright. Mehdi Jomâa prononcera, à cette occasion, un discours dans lequel il abordera notamment la nécessité de concilier la consolidation de la démocratie, avec la protection des libertés individuelles et publiques, ainsi que la sécurité et la lutte contre le terrorisme.

 

M.B.Z


 

 

13/09/2017 | 14:42
1 min
Suivez-nous

Commentaires (10)

Commenter

kameleon78
| 14-09-2017 12:25
Ce n'est pas de la diplomatie parallèle, cela n'a aucun sens, Mehdi Jomaâ ne se substitue pas au gouvernement contrairement à Rached Ghannouchi. Mehdi Jomaâ veut exister sur la scène politique en Tunisie, il utilise ce genre d'événements pour faire parler de lui, c'est plus une initiative personnelle pour se faire de la publicité, cela me rappelle un peu Marzouki dans le même genre. Donc en conclusion, Mehdi Jomaâ a pour but que les images de cette rencontre passe au journal de 20 heures en Tunisie. S'il rencontre Madeleine Albright cela lui donne une certaine vanité mais le tunisien s'en fiche, il sait que c'est une opération de Relations Publiques.

MFH
| 13-09-2017 20:13
Y. Chahed n'a pas besoin de diplomates parallèles, vendus corps et âmes aux protecteurs des sionistes comme vous n. Alors Mr Jomaa ccupez-vous de vos oignons et foutez lui la paix. Les américains ne pourront plus rien pour vous. Faites autre chose sans rapport avec la politique où vous pourrez vous épanouir. Sayeb Youssef.

Monia
| 13-09-2017 17:24
qui me préoccupent depuis son apparition "deus ès machina" sur la scène politique dans le cadre du 1er gouvernement de consensus suite à l'échec sans appel de la troïka.
Avec le recul disponible à ce jour, la nébuleuse savamment entretenue sur son positionnement sur l'échiquier politique constitue, à mon sens, un début de réponse.

G D ID
| 13-09-2017 17:22
Parlez nous de l'enquête concernant MAJDOUB pour son ordre d'expulsion du cousin du roi du Maroc,et de l'offre de 15 ambulances aux hopitaux tunisiens par le Qatar par exemple

kameleon78
| 13-09-2017 16:26
Madeleine Albright derrière le coup d'état du 14 janvier 2011, il ne manque que Mac Caïn qui je rappelle est atteint d'une maladie grave, c'est pour cela qu'il n'était pas là.

kameleon78
| 13-09-2017 16:21
Qui finance ses voyages, ses séjours et sa smala avec lui? Voilà une question utile à poser.

mourad
| 13-09-2017 16:21
Souvenez de vous Mc Cain avec Hamadi Jebali... Madeleine Albright c'est le meme camp...
Donc une preuve de plus que Monsieur Vendredi passe ses Vendredis avec ses Freres de Montplaisir...

bon débarras
| 13-09-2017 15:43
Qu'il y reste DéFINITIVEMENT !!

Desert Eagle
| 13-09-2017 15:39
C'est qui lui déjà?! le représentant de Total ou d'Exxon?!
Pauvre Tunisie!

el manchou
| 13-09-2017 14:47
Interrogée dans l'émission "60 Minutes" de la chaine américaine "CBS News" le 12 Mai 1996, sur le nombre ahurissant de 500.000 enfants irakiens qui sont morts lors de la guerre menée par les États-Unis contre Saddam Hussein, Madeleine Albright, Secrétaire d'État américaine de l'époque (ce qui correspond au ministre des affaires étrangères), déclare sans sourciller que "Le prix en valait le coup"...