« Il y a des enseignants, des instituteurs, des employés retraités qui n’ont pas reçu un sou depuis quatre mois ! », a déclaré Mastouri Gammoudi, secrétaire général du syndicat général de l’enseignement de base, le 17 juillet 2017 sur les ondes de Mosaïque FM.
M. Gammoudi a assuré que les personnes concernées sont victimes d’une grande humiliation au lieu d’être honorées par l’Etat pour leur dévouement au cours d’années de travail dans l’enseignement. Il a invité la présidence du gouvernement à régulariser au plus vite la situation et a demandé à la CNSS de procéder au transfert des salaires.
« Si vous ne payez pas ces gens, on va entrer dans une série de mouvements contestataires dont des sit-in aux directions régionales ou devant le ministère de l’Education », a-t-il prévenu.
M.A
Commentaires (11)
CommentersOUS D4AUTRES CIEUX? TU SERAI EN PRISON !!!
TOUT CE QUE REGROUPE LE TERME "IMPROBABLE" EST DEVENU PROBABLE AU PAYS DES MERGUEZS
Les fainéants, les adorateurs de la "loukma el berr-da", de la mauvaise foi, les dieux de la voracité, les meurt-de-faim, les claquedents, les inassouvissables, les irrassasiables , etc... ont envahi nos vies.
Yaa ness, faisons une révolution pour réclamer la réinstauration du divin bâton purificateur.
Ces bouseux, ces gardiens d'étables et d'écuries, ces ploucs, ces pouilleux, ces évadés de la cour des des miracles, etc... ne se fixent aucune limite.
Ils sont sevrés à la bastonnade régulatrice de leurs instincts d'affamés congénitaux, gravés au plus profond de leur hélice d'ADN.
Dialoguer avec ces accidents de la nature est une pure perte de temps.
Il est grand temps de passer au plan B.
Cette putain de transition n'aura jamais lieu.
Ces pingouins réduiront à néant toute forme de vie respectueuse.
On doit présenter nos plus profondes excuses à "El-assa" au plus vite, avant qu'on dépasse le point de non retour.
comment la Tunisie pourra-t-elle sen sortir ??
Mais cela est aussi le cas des échanges verbaux, ou gestuels, des citoyens bien installés derrière leur volant...
encore les mêmes joyeusetés dans la vie quotidienne, les mêmes gestes dégradants, pour tout désaccord...
Et que dire de ce que peuvent entendre les étrangers, enfin ceux qui comprennent les rudiments du dialecte Tunisien, comme les noirs africains, ou même depuis peu, nous, les occidentaux... où ce qui peut sortir de la bouche de nos racistes extrémistes européens, pourra paraitre comme à peine déplacé...
alors comment la Tunisie pourra-t-elle s'en sortir si le peuple, dans sa majorité, devient aussi violent et agressif ?
Que peut être l'avenir d'un peuple qui parle en permanence de respect, mais n'a aucun respect envers les autres.
Mais chut, je dois être un incorrigible raciste, mâtiné d'islamophobie. Oui, si on critique un arabe (dans le sens musulman), c'est qu'on est islamophobe.
Bon plan, Ghannouchi !
Je n'ai qu'un mot: pourriture...
Seul le désespoir est grand !!!
Ecrit par A4 - Tunis, le 30 Septembre 2013
Quand soudain tourne le vent
Les canards sauvages s'envolent
Volent en vé le chef devant
En priant le dieu Eole
D'être avec les survivants
Après cette course folle
Contre marée, contre vent
Contre mer et ses atolls
Ils ne peuvent même en bavant
L''il rivé sur la boussole
Que traîner le fainéant
Dont les ailes sont un peu molles
Qui plane péniblement
En pitoyable guignol
Quand soudain c'est la tempête
Nuages bas, sans lumière
Sans vol plané des mouettes
Où tous les chants doivent se taire
Quand se cachent même les roussettes
En remontant l'estuaire
Tous les vers et anguillettes
Filent à l'intérieur des terres
Quand cette foule inquiète
Fuit le déluge, sa galère
Elle se bloque à la goulette
Face aux gros maquereaux qui errent
Ne pensant qu'à faire la fête
Dans le lit de la rivière
Quand sonne l'heure du voyage
Et qu'il faut tout emporter
Faire très vite tous ses bagages
Prendre ses antiquités
Préparer un attelage
De quatre bêtes bien montées
Avec rênes et cordages
Pour grande vélocité
N'oubliez pas cet adage
Qui dit en toute clarté:
"On a beau crier de rage
Frapper fort et fouetter
C'est la bête sans courage
Qui impose ses ratés !"
Quand soudain sans crier gare
Nous vint la révolution
On s'est dit en vieux ringard
Elle est là la solution
Oubliant que c'est un art
Qui demande formation
Et que jamais les ignares
Ne pratiquent l'évolution
Regardons dans le miroir
Perdons vite nos illusions
Ce n'est pas avec ces tares
Qu'on franchit le Rubicon
En pataugeant dans le noir
A la vitesse des plus cons
Quel bel exemple !!!
Pauvre Tunisie. Depuis quelques années ces énergumènes poussent comme des champignons. Sauf que ce sont des champignons vénéneux...