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http://www.alterinfo.net/L-institution-d-Al-Aqsa-les-israeliens-se-preparent-pour-demolir-la-mosquee-d-Al-Aqsa_a7995.html
Sahbi Ben Fredj, a affirmé, ce dimanche 16 juillet 2017, que son bloc ainsi que la majorité des autres blocs parlementaires et un nombre de députés indépendants, œuvreront pour abroger le texte de loi fondamentale concernant l’instance constitutionnelle de la bonne gouvernance et de la lutte anti-corruption et rédiger un autre texte de loi en la matière.
Le député Al Horra a ajouté, dans une déclaration accordée à la TAP, qu’il est prévu que l’ARP reprenne les discussions à propos de ce texte de loi, à partir de mercredi prochain. Le texte proposé étant considéré comme régressiste par rapport au texte existant.
Sahbi Ben Fredj a, par ailleurs, précisé que le projet de loi présente les mêmes contraintes administratives, légales et procédurales que subit le gouvernement actuellement dans sa guerre contre la corruption, rappelant que le gouvernement de Youssef Chahed a dû avoir recours à des procédures exceptionnelles pour initier la guerre contre la corruption.
L’unité de suivi des affaires de corruption du bloc Al Horra, s’est réunie hier, sous la présidence de Chawki Tabib, président de l’INLUCC, pour étudier le texte de loi et a affirmé dans un communiqué rendu public, que le texte proposé ajoutait encore plus de contraintes légales pouvant freiner davantage le travail de la prochaine Instance anti-corruption.
Sahbi Ben Fredj, a affirmé, ce dimanche 16 juillet 2017, que son bloc ainsi que la majorité des autres blocs parlementaires et un nombre de députés indépendants, œuvreront pour abroger le texte de loi fondamentale concernant l’instance constitutionnelle de la bonne gouvernance et de la lutte anti-corruption et rédiger un autre texte de loi en la matière.
Le député Al Horra a ajouté, dans une déclaration accordée à la TAP, qu’il est prévu que l’ARP reprenne les discussions à propos de ce texte de loi, à partir de mercredi prochain. Le texte proposé étant considéré comme régressiste par rapport au texte existant.
Sahbi Ben Fredj a, par ailleurs, précisé que le projet de loi présente les mêmes contraintes administratives, légales et procédurales que subit le gouvernement actuellement dans sa guerre contre la corruption, rappelant que le gouvernement de Youssef Chahed a dû avoir recours à des procédures exceptionnelles pour initier la guerre contre la corruption.
L’unité de suivi des affaires de corruption du bloc Al Horra, s’est réunie hier, sous la présidence de Chawki Tabib, président de l’INLUCC, pour étudier le texte de loi et a affirmé dans un communiqué rendu public, que le texte proposé ajoutait encore plus de contraintes légales pouvant freiner davantage le travail de la prochaine Instance anti-corruption.