Il s’appelle Amine Terzi et vient de créer la société Nouvelle Vision. L’entreprise gère aujourd’hui un site de E-Learning (FASQI.com) qui répond à un besoin direct, car dédié aux élèves qui évoluent de la 7ème année de base au Baccalauréat.
Une plateforme web, donc, qui propose aux élèves inscrits sur le site, des cours vidéos présentés par des professeurs agréés, des examens corrigés et des séries d’exercices inspirés de ceux avec lesquels ils étudient en classe. A la plateforme ont aussi été intégrés les trucs et astuces pensés pour passer plus facilement les épreuves d’examens.
Accessible à partir d’un PC ou d’un Smartphone, FASQI est un site dynamique doté d’une assistance en ligne et de cours « en live » durant lesquels les élèves qui les suivent peuvent interagir avec les professeurs en posant directement leurs questions.
Les spots de présentation qui ont été projetés ce jeudi 16 février 2017, lors de la conférence de presse qui a eu lieu à l’hôtel Africa de Tunis, sont d’une grande qualité. Ils ont été en effet filmés dans les studios professionnels montés par l’entreprise, qui s’est dotée d’un matériel dernier cri pour assurer ses prestations.
M. Terzi, qui a pris la parole durant l’évènement, a expliqué que durant cette période de test, le service sera entièrement gratuit, après quoi, il sera demandé aux élèves de payer une somme symbolique de 10 dt par mois. « Beaucoup moins que ce que payent les parents pour un cours particulier ! » a-t-il déclaré.
« Avec FASQI, on propose aux élèves de faciliter la réussite aux examens sans fausses copies » a-t-il ensuite ironisé.
Aujourd’hui en Tunisie, 6 millions de personnes sont connectées à internet. Le pays compte également 2 millions d’élèves et étudiants. FASQI répondra donc à un besoin réel avec une importante perspective de croissance car le concepteur compte passer aux étudiants du supérieur dans une seconde phase, a-t-il fait savoir.
S.A
Commentaires (7)
CommenterFasqi
Quelle idée de nom
Il faut s'attendre à la contestation du syndic des prof .
FASQI = faire une fausse copie en dèrja
Drôle de nom, ils auraient pu aussi l'appeler : FOUSQA, FOSQOPI ...