La coordination des familles des détenus politiques dans le cadre de l’affaire de complot a tenu le président de la République, Kaïs Saïed, la ministre de la Justice, Leila Jaffel, le juge d’instruction, les magistrats de la chambre d’accusation et la direction des prisons responsable de la détention arbitraire des accusés.
Dans un communiqué du 30 avril 2024, la coordination des familles des détenus politiques a indiqué que l’état de santé de Jaouhar Ben Mbarek s’était, considérablement, aggravé en raison de la grève de la faim entamée depuis une semaine en guise de protestation contre sa détention pour une durée dépassant les quatorze mois. La même source a expliqué que malgré le risque d’insuffisance rénale, l’administration de la prison civile de la Mornaguia a refusé d’admettre ce dernier dans un hôpital. Il est à noter que Issam Chebbi, secrétaire général d’Al Jomhouri et accusé de complot, a entamé, lui aussi, une grève de la faim depuis cinq jours.
La coordination des familles des détenus politiques a exprimé son intention de poursuivre en justice toute personne ayant pris part de façon directe ou indirecte à la détention arbitraire des accusés dans le cadre de l’affaire de complot contre la sûreté de l’État. La coordination a appelé les forces libres à dénoncer cette injustice et à appeler à y mettre fin dans l’immédiat.
Pour rappel, la liste des détenus pour complot comporte les noms de Khayam Turki, Ridha Belhaj, Ghazi Chaouachi, Jaouhar Ben Mbarek, Issam Chebbi, Abdelhamid Jelassi et Kamel Letaïef. Ils ont été emprisonnés à la suite de mandats de dépôt émis le 25 février 2023. La liste des accusés comprend, également, Lazhar Akremi et Chayma Issa. Ces derniers ont été arrêtés dans le cadre de la même affaire puis laissés en liberté à la date du 13 juillet 2023.
La période de détention devait prendre fin entre les 18 et 19 avril 2024. Néanmoins, aucune décision de libération n'a été annoncée par les autorités tunisiennes. Parallèlement à cela, le document relayant l'instruction a fuité et a fait l'objet de beaucoup de critiques, et même de railleries. En guise de protestation contre sa détention, Jaouhar Ben Mbarek a entamé une grève de la faim sauvage depuis plusieurs jours. Il a décidé de se priver d'eau et de nourriture. Le secrétaire général d'Al Jomhouri et détenu dans la même affaire, Issam Chebbi a décidé d'entamer, lui aussi, une grève de la faim. Quelques jours après, et à la date du 29 avril, les autres détenus ont rejoint cette grève de la faim.
S.G
Mais en tout cas il y a le recours en CASSATION.
En général, un groupe de filles aux corps pulpeux et à la peau satinée débutent dans ce métier par besoin car elles sont nées en des milieux familiaux dysfonctionnels. Le Père est en général alcoolique et violent et la Mère dépassée par les évènements, car soumise à un mari d'une bourgade de l'intérieur alternant entre l'ébriété et les gueules de bois. En général, la malheureuse femme au foyer a convolé en injustes noces avec un cousin du premier ou du deuxième degré suite aux conseils d'une famille ayant un adopté depuis des générations une mentalité plutôt tribale.
Leur progéniture vire alors tôt vers la délinquance. Le garçon vie de petits larcins et de trafic, mais la fille est en général soudoyée par un ami du quartier ou un cousin éloigné qui décide de la faire turbiner afin d'arrondir ses fins de mois et ses factures en Chicha.
Les maquereaux Tunisiens que j'ai pu interroger lors de mes années de flic de Bourguiba et de Ben Ali ont cette fâcheuse tendance à blâmer la malheureuse prostituée en question et de déclarer qu'ils ont investi la vie de la pauvre fille afin de la guider vers le droit chemin et même de la protéger d'une vie de débauche.
Les maquereaux Tunisiens sont de êtres odieux mais ils clament un comportement de protection et de paternalisme quand ils n'hésitent jamais à utiliser la violence envers leurs victimes.
Un maquereau de ma connaissance avait cette fâcheuse habitude de frapper de son pied droit au visage toute fille ayant adopté un comportement récalcitrant. De mon temps, les urgences des hôpitaux Tunisiens le weekend étaient remplies de filles des quartiers pauvres se présentant avec des coups et blessures habituellement observées lors de bagarres entre hommes comme les blessures au visage causées par la fameuse « MOCHTA ».
Chez les traitres Tunisiens liés de loin ou de près à George Soros il existe la même hiérarchie. En général, il s'agit de Tunisiens possédant très peu ou pas de talent politique et jugeant insupportable la réussite d'un ou de plusieurs hommes politiques Tunisiens.
Ces hommes ou femmes sans patriotisme sont très tôt pris sous la coupe d'organisations politiques d'obédience sioniste qui leurs promettent protection financière en échange de l'adoption d'une feuille de route politique qui consiste à déstabiliser un régime et en même temps à protéger ou à ramener dans la vie politique les islamistes, fer de lance de la destruction des pays Arabes par les sionistes de ce bas monde.
Les hommes et femmes politiques qui travaillent pour l'occident sont protégés par leurs maquereaux sionistes qui sont à la tête d'ONG des droits de l'homme, de banques, et de médias puissants qui manipulent l'opinion publique fin d'instaurer des démocraties qui n'auront comme résultat ultime que la Chariaa et des hommes politiques comme Marzouki et Ghannouchi aux haleines fétides insupportables et incurables.
JOHN WAYNE
Leur place est en prison auprès de leur gourou.