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La fuite du mandat de dépôt contre Boughalleb suscite des interrogations
05/04/2024 | 23:22
1 min
La fuite du mandat de dépôt contre Boughalleb suscite des interrogations

 

Le ministère public a décidé d'émettre, vendredi 5 avril 2024, un nouveau mandat de dépôt à l'encontre du journaliste Mohamed Boughalleb. Cette nouvelle a suscité une vague d’indignation sur la toile, encore plus lorsqu'une copie de ce mandat a circulé librement sur les réseaux. 

 

Plusieurs commentateurs de la chose politique ont exprimé leur surprise de voir le mandat de dépôt partagé publiquement, notamment, par les partisans du président de la République, quelques minutes à peine après son émission. 

L'avocat Nafaâ Laribi a même assuré qu’il n’avait jamais vu un mandat de dépôt de ses propres yeux durant toutes ses années d'exercice. 

 

D’autres personnalités, à l’instar de l’avocate Dalila Mbarek Msaddek ou le journaliste Zied El Heni, se sont adressés au juge d’instruction ayant émis le mandat, l’interrogeant sur l’origine de la fuite du document, d’autant plus qu’aucun avocat de Mohamed Boughalleb n’était au courant de ce mandat et n’en avait reçu de copie.

Ils se sont interrogés sur les raisons justifiant l’émission de ce mandat alors que Mohamed Boughalleb n’était pas présent à l’audience et n’était même pas en fuite, puisqu’il est incarcéré à la prison de la Mornaguia et qu’il n’avait pas refusé de comparaître. 


S.H

 

05/04/2024 | 23:22
1 min
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Commentaires
ABC
Ils me rappellent un certain "Recoba"
a posté le 07-04-2024 à 14:38
Vous souvenez-vous d'un certain "RecoBA" ancien LPR ?
Nous en avons maintenant de nouveaux semblables .... Des "Reco encore plus bas"
Abel Chater
Echèy Lillèh yè Bou Awliè Allah. Pardonne-leur yè Sidi Ghannouchi, yè Rachouda yè Bouha. Tu as pris avec toi en prison, tous ceux qui ont menti et intrigué contre toi et contre ton Islam pacifique jusqu'à la débilité et la naïveté d'avoir soutenu la famille Caïd Essebsi dans son commerce des boissons alcoolisées et jusqu'à avoir permis aux femmes tunisiennes musulmanes d'épouser des non-musulmans. Des gigantesques fautes dont tu paies cash avec tout ton parti d'Ennahdha.
a posté le 06-04-2024 à 14:35
Je suis contre l'emprisonnement des journalistes en contradiction à leur droit à la liberté de la parole et à la liberté d'expression. Mais néanmoins, je dois reconnaître que le journaliste Mohamed Boughallèb confond souvent l'objectivité du langage journalistique, avec le hurlement de Hammam Ennissa, jusqu'au rabâchage fatigant et intrigant contre ceux qu'il considère ses propres ennemis, auxquels il colle à leurs semelles comme du goudron. On remarque facilement qu'il ne vise par ses acharnements inappropriés et souvent partialement exagérés, que dans le seul but et dans le seul espoir qu'il leur lèse pêle-mêle, même dans l'ensemble de leur avenir professionnel, afin qu'on dise par la suite, que c'est Boughallèb qui est la cause de la défaite jusqu'à l'emprisonnement de ses ennemis. Il le considère comme son propre succès, alors que de l'autre côté, il distribue plein de fleurs de "khobbiza" à tous ses proches et à toutes ses connaissances dont il tire profit, comme si ça pourrait intéresser les auditeurs ou les spectateurs, d'une radio qui ne lui appartient nullement. Même Abdelaziz El Aroui, il ne le fit jamais. Une folie de fausses grandeurs, voulant transformer un boulot gagne-pain, en son propre atelier de sculpture personnalisée sur mesure à ses propres ambitions.
Nous savons tous que dans la déontologie et dans l'éthique du journalisme, jamais le journaliste n'a le droit de de parler de sa propre personne ni de sa propre cause. Pour cela, ou qu'il laisse ses collègues le faire pour lui, ou qu'il fasse une brève remarque timide, ou qu'il le dise et qu'il l'écrive incognito sans évoquer son nom. Mais il ne doit jamais régler ses propres comptes personnels sur antenne, avec quelqu'un qu'il lèse en public tout en lui proposant un droit de réponse dans une autre émission avec un autre public. Surtout, après que le mal est déjà fait.
En Allemagne, on informe l'intéressé, du sujet, lui permettant de répondre aux accusations avant de les mettre sur antenne. S'il ne répond pas, c'est sa faute. Mais ne pas prendre le micro d'une antenne à la manière de nos Fdèoui des Souks, qui parlent seuls suivant l'adage tunisien "ichch yè dhibbènè mè fèmma fiddonia kèn èna", puis prétendre jouir d'une liberté de la parole conçue spécialement pour sa personne et jamais aux autres.
Je ne puis finir sans combler le très bon exemple du vrai journalisme moderne et objectif, Marouen Achouri, par mes sincères félicitations pour ses discours radiophoniques d'un haut niveau journalistique bien détaillé par une extrême honnêteté, qui transforme sa mission en un régal d'extrême culture objective de grands penseurs. Ni cris, ni hurlements, ni insultes, ni baratin bidon.
Oh, combien j'aime ce jeune et grand journaliste Marouen Achouri que je lis ici chez BN depuis une bonne décennie sans relâche avec Nizar Bahloul et combien j'aime le lire et l'entendre. Je lui souhaite tout le bonheur et toute la réussite pour toute sa vie. Son charisme est trop rare sur la scène médiatique en Tunisie.
Sahha Chribetkom et Aïdkom mabrouk.
Lecteur
Daoula khorr torr
a posté le 05-04-2024 à 23:40
Les parents n'auront aucun mal à trouver des chleyks pour leurs enfants pour l'Aid.