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Najla Abrougui : la présidentielle doit avoir lieu au plus tard le 23 octobre 2024
18/05/2024 | 16:04
1 min
Najla Abrougui : la présidentielle doit avoir lieu au plus tard le 23 octobre 2024

 

La membre du conseil de l’Instance supérieure et indépendante pour les élections (Isie), Najla Abrougui a indiqué que les candidats à la présidentielle prévue d’ici fin de l’année 2024 devront présenter le bulletin numéro trois. Elle a assuré que le calendrier électoral sera fixé dans les prochains jours.

Dans une déclaration accordée le 18 mai 2024 à l'agence Tunis Afrique Presse, Najla Abrougui a affirmé que l’élection présidentielle devait avoir lieu au plus tard le 23 octobre 2024 et que la convocation des électeurs devait avoir lieu durant les trois mois précédant la fin du mandat du chef de l’État. L’Isie entamera la mise à jour de la liste des électeurs à partir du 20 mai 2024 et appliquera le système d’enregistrement automatique.

Najla Abrougui a expliqué que l’Isie comptait réviser le décret d’application numéro 20 de l’année 2014. Ce texte porte sur les règles du déroulement de la campagne électorale et sur son financement.

 

S.G

18/05/2024 | 16:04
1 min
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Commentaires
Thoura
Les règles du jeu
a posté le 19-05-2024 à 15:32
L'ISIE n'a absolument pas le droit de changer les règles du jeu avant 5 mois des élections. Et d'ailleurs c'est du ressort du parlement et non l'Isie.
Jean Neymar
Et si Echâab yourid...
a posté le 18-05-2024 à 17:25
Prenez ma question au premier degré sans y voir la moindre sournoiserie:
Et si Echâab yourid un(e) président(e) qui aurait un Bulletin n°3 pas très "catholique",que fait-on dans ces cas là?
Est-ce la Volonté du peuple qui va quand même primer ?
Chelbi
Comme si elles seront des élections
a posté le 18-05-2024 à 17:02
Bon juste pour dire que la fixation de la date dépend de l'humeur du « créateur du bonheur brut » et de ses plans pour se maintenir au pouvoir.

Je vais mettre de coté le fait que toutes les actions post 25/7 sont illégitimes et illégales. Mais prenons les choses comme si l'inverse était vrai. Juste pour illustrer ce « ga3baji » qu'on est entrain de vivre depuis le maudit 25/7 et que l'absurdité et l'illogisme frappent partout. Normalement quand on promulgue une nouvelle constitution, des élections doivent se tenir dans les plus brefs délais au niveau des trois pouvoirs: exécutif , législatif, et judiciaire car les pouvoirs existants sont élus sur la base d'une constitution révolue. Apres, ils doivent être assermentés sur la nouvelle constitution. Rien de ça ne s'est passé. Ce qui fait rire encore plus, c'est que fixer des échéances électorales sur la base de la constitution de 2014 implicitement laisse croire que cette constitution est encore en application. Un illogisme qui fera une bonne matière pour les philosophes, sociologues, et psychiatres pour des siècles à venir.
Djodjo
@chelbi
a posté le à 02:34
Excellente analyse
Observateur
Le calendrier sera t il respecté ?
a posté le 18-05-2024 à 16:51
Comme son ami Tebboune, l'autocrate d'Alger au service de la junte militaire, Saed sera tenté de maneuvrer pour anticiper ou repousser les élections présidentielles.
Les calendriers ne sont que des leurres pour mieux tromper l'opinion et imposer les réélections des présidents les plus mal élus et les moins légitimes de l'histoire des 2 pays.