« Les partisans du Front populaire descendront dans la rue pour exprimer leur refus du projet de réconciliation économique ». C’est ce qu’a annoncé Hamma Hammami, porte-parole de la formation de gauche, mardi 1er septembre 2015, sur Jawhara Fm.
« Nous allons nous opposer à ce projet en usant de pression dans le Parlement, mais également par les manifestations pacifiques », a-t-il déclaré. M. Hammami a appelé toutes les parties contestant ledit projet à s’unir pour former la plus large coalition possible contre ce dernier.
Un message que le leader de gauche adresse à l’UGTT, la coordination des 13 associations et à certains partis de l’opposition. Hamma Hammami a qualifié, dans le même contexte, le projet de réconciliation de « prétexte pour se réconcilier avec les corrompus et ceux qui ont pillé l’argent des Tunisiens ».
E.Z.
Commentaires (63)
Commenter@BV
ON VOULAIT CHANGER LE MONDE, MAIS LE MONDE NOUS A CHANGE !!!
Face à ce "guaabegi" que vit le pays et dont on voit pas le bout du tunnel, on se pose mille et une questions......
Réponds au moins à quelques unes d'entre elles.......
l'hypocrite
H.Hammami n'a pas le droit de descendre dans la rue
L'Etat d'urgence ne permet pas ce genre de manifestations , et de toute façon, tout se joue à l'ARP ; Cette attitude est indigne de toute personne qui respecte la démocratie et le vote de la majorité, sans parler du fait que descendre dans la rue en ce moment, serait un acte dangereux dans la mesure où une menace terroriste imminente plane sur notre pays.
Par cette décision, Hamma reste fidèle à son programme, consigné dans le document fuité du PCOT qui consiste entre autres, à faire tomber le gouvernement Essid. Ce comportement est irresponsable et nul n'est plus dupe des intentions non avouées de ce fouteur de trouble . . .
l ingratitude est un vilain defaut
Voyou ce Hamma comme d'habitude
le krivine sur le retour
Hamma, ne sait même plus, où il en est !
Moi non plus,je n'étais pas d'accord avec cette loi;mais,après une profonde réflexion je me suis résolu à l'accepter,elle n'est certainement pas parfaite,peut-être même injuste,mais,c'est la seule alternative qui prémunirait notre pays,pas une,mais plusieurs fractures dans la société tunisienne,et là,personne ne peut prévoir ses conséquences?