- il ne faut pas avoir d'état d'âme pour faire de la politique. C'est une arène. Il y'a un vainqueur et un vaincu. Vous avez édifié un parti. On vous le confisque. Votre réaction est molle.
- votre épouse tient les cordons de la bourse de ce parti. Où est-elle ? Avec vous ou contre vous. Car la première des leçons en politique est d'afficher une solidarité de couple. Même de façade. Suivez l'exemple des Clinton et des Sarkosy. Si votre épouse ne vous suit pas pourquoi les électeurs vous suivraient ?
- au lieu de constituer un courant, commencez par contester légalement ces désignations contraires à votre règlement intérieur. Plainte en référé en annulation de ce bureau fantoche.
Si vous gagnez, la démocratie aura triomphé. Si vous perdez, vous en conclurez que le système est toujours pourri et que la révolution est inachevé. Vous aurez plus de chance à recréer un autre parti et vos electeurs vous suivront.
Quand on vous poignarde entre les côtes vous ne réagissez pas en pinçant la joue en disant " vilain garçon". Vous abattez votre adversaire.