Le mouvement Ennahdha a rendu public un communiqué, ce vendredi 19 mars 2021, à la suite des derniers évènements enregistrés au Parlement pour faire part de sa solidarité avec les journalistes et les agents du Parlement.
Le mouvement islamiste indique « qu’à la suite des grabuges et de l’anarchie causés par la députée Abir Moussi, le parti est solidaire avec tous ceux qui ont été touchés par ses agressions et ses dépassements à commencer par le président du Parlement Rached Ghannouchi, son chef de cabinet Ahmed Mechergui ainsi que tous les députés ».
Le mouvement se dit, également, solidaire avec les journalistes, notamment, Sarhane Chikhaoui ainsi qu’avec les fonctionnaires et les agents du Parlement touchés par la diffamation et le dénigrement de Abir Moussi.
Rappelons que le Parlement a été, hier, le théâtre de vives altercations entre les députés PDL (Parti destourien libre) et les agents de l’administration. Le président du Parlement et chef d'Ennahdha Rached Ghannouchi a interdit l’accès à la réunion du bureau de l’assemblée, à Abir Moussi. Il a chargé les agents de l’administration d’exécuter sa décision.
S .H
Les journalistes se font à chaque fois fait avoir et amadouer après
avoir été agressé genre" nous sommes pour la liberté d'expression" ou nous condamnons fermement" ....
Tout le baratin pour se donner l'image de démocrates Gentlemans.
Malheureusement les journalistes ne sont pas tous unis pour faire face à cette hégémonie. '?a sert à quoi les syndicats ? Il faut couper les ponts avec la secte et ses dérivés, en couvrant toutes leurs activités et déclarations vous contribuez à la propagande néfaste et ils ont appris comment utiliser les médias pour faire passer les messages .
La manipulation c'est une spécialité de la maison.
1- Tawwika kolilna fech kont taamil maa il mraa kbal kol chey? Je ne peux pas te juger si je ne sais pas ce que tu faisais avec la dame.
2- R'?ponse: wallah ye monsieur le juge rien du tout.
3- réponse du juge: dawhi thib taaddiha alya, wahdik maaa il mraa ou thib tkoll mek taamil fi hatta chey. Ti rak inti tounsi ou ena juge tounsi. Initi jmeit il sheraton tlaaat ye journalist.
Au journaliste. Ti brabbi yezzi mil bleda imteik, c'est toi qui a amplifié tout ca. ahna il twensa il bleda ou inti blid kifna. Ti inti bidik tu auras pensé à la meme chose. arretez ces enfantillages...
Les agents de l'ARP protestent parce qu'ils veulent savoir ce que tu faisais avec la dame loool
Solidaire de ses obligés. Comme de de tous ses agents partout placés pour organiser la meute.
La situation politique est grave, ceux qui en sont responsables sont, précisément, ceux qui font le spectacle de l'indignation feinte puisqu'ils en sont les organisateurs.
L'objectif est simple, et à force d'en voir la répétition depuis des années on finit par admettre qu'ils sont disposés à tout afin de se maintenir au pouvoir.
Les politiciens qui trouvent à redire sur la manière dont la SEULE opposante leur fait face sont complices ou veules, ou bien encore aveuglés par leur haine.
Ils se trompent d'ennemi, et de fait trompent leurs électeurs.
On prend date, pour ceux qui croient avoir du flair et nous parlent de forme et de fond.
Une puissance ne peut-être vaincue que par une puissance plus forte. Le peuple en est le comptable et le détenteur.
Si nos bons esprits ont quelque conscience de l'engrenage dans lequel est pris le pays, du fait des agissements répétés, gravissiles et impunis des hordes islamistes, il est encore temps qu'ils décillent le regard et se rangent du côté du peuple.
Peuple trompé, insulté dans le reniement de ses traditions, de son histoire et livré des gens que seul l'amour du pouvoir et ses prébendes motivent lorsqu'il lui parle de Dieu.
Leur dieu est l'argent. Ils l'ont pris dans les poches des citoyens, ont formé des fortunes, gonflé leur bedaine rt crachent sur les femmes, tuent les opposants, les soldats.
Sans vergogne ils parlent révolution, toujours la main sur la gâchette. Leur LPR et autres officines en réserve.
Ils ont établi des succursales de dictrinzires qui "forment" nos soldats et sécuritaires.
Ils ont ouvert des écoles pour formater les cerveaux, du petit en maternelle jusqu'aux adultes.
Les mosquées ont poussé comme des châteaux veillant sur leur fief, le châtelain en confiant la gestion à quelques obligés chargés de garder les âmes et surveiller les consciences.
Alors, que reste-t-il de tout ce que l'Ecole nous a permis de découvrir, d'instituer pour notre présent et le devenir de nos enfants ?
Nos chères compétences si coutumières à suivre le plus rémunérateur sont de leurs troupes ou des compagnons obligés.
On n'est jamais assez prévenu contre le pire.