Invité au plateau de Klem Ennes du mercredi 6 janvier 2016, Taoufik Ben Brik s’est acharné contre le chroniqueur de l’émission Chakib Derouich. Visiblement embarrassé par une question posée par ce dernier, le journaliste et écrivain a eu un vif échange avec le chroniqueur de l’émission.
« Puisque nous parlons là de puritanisme, j’en profite pour revenir sur un passage de ton livre (New York banlieue de Tunis). Tu y cites Borhen Bsaies. Tu l’as blâmé. Tu as dit qu’il était l’homme de la propagande noire de Ben Ali en même temps tu étais invité chez lui à Nessma […] (puis il poursuit après avoir été interrompu par M. Ben Brik) Dans le même livre vous critiquez aussi Béji Caïd Essebsi, vous l’avez surnommé ‘ElBouj’ (ndlr quelqu’un qui a l’esprit borné) alors que dans l’entre deux-tours vous avez tenu des propos élogieux à son égard. Vous décrivez comment il trempe le pain dans l’huile d’olive au point de nous donner envie d’en goûter. Peut-on dire que Taoufik Ben Brik a perdu le nord ? », a dit Chakib Derouich.
Des propos qui ont irrité Taoufik Ben Brik. Celui-ci a répondu : « Est-ce que t’as lu livre ? (rires dans le public) Dans un livre antérieur, Saâd cow-boy, je me suis interrogé sur ce que c’est l’intelligence. L’intelligence c’est lorsqu’il y a de la contradiction. C’est comme aujourd’hui, toi et moi sommes ensemble dans le même plateau. Demain par exemple, je pourrai m’attabler avec Satan. C’est mon métier de rencontrer tout le monde, de la prostituée au saint ! Je me dois de parler avec ces gens. Et même si je fais trempette dans la merde à Gambetta (plage polluée du côté du TGM) j’en sortirai propre ! ». L’écrivain hausse encore le ton : « J’ai demandé à l’animateur avant de venir : Est-ce que celui-là (montrant du doigt Chakib Derouich) va me poser des questions ? Je lui ai dit que je ne veux pas qu’il m’adresse la parole ».
Rappelons, par ailleurs, que Taoufik Ben Brik vient, il y a près d’un mois, de sortir son nouveau roman « New York banlieue de Tunis ». Un nouvel opus, aux éditions « Sud Editions », décrit comme « fort, dur, amusant, plein d'images fortes et de personnages bien campés », par Jean-Pierre Tuquoi. Le livre sera présenté par l’intellectuel et islamologue Youssef Seddik et le journaliste Walid Mejri, mercredi 13 janvier 2016, à 10h du matin, à la place Mohamed Ali Hammi au siège de l’UGTT.
E.Z.
Emission Klem Ennes : vif échange entre Chakib Derouich et Taoufik Ben Brik
Invité au plateau de Klem Ennes du mercredi 6 janvier 2016, Taoufik Ben Brik s’est acharné contre le chroniqueur de l’émission Chakib Derouich. Visiblement embarrassé par une question posée par ce dernier, le journaliste et écrivain a eu un vif échange avec le chroniqueur de l’émission.
« Puisque nous parlons là de puritanisme, j’en profite pour revenir sur un passage de ton livre (New York banlieue de Tunis). Tu y cites Borhen Bsaies. Tu l’as blâmé. Tu as dit qu’il était l’homme de la propagande noire de Ben Ali en même temps tu étais invité chez lui à Nessma […] (puis il poursuit après avoir été interrompu par M. Ben Brik) Dans le même livre vous critiquez aussi Béji Caïd Essebsi, vous l’avez surnommé ‘ElBouj’ (ndlr quelqu’un qui a l’esprit borné) alors que dans l’entre deux-tours vous avez tenu des propos élogieux à son égard. Vous décrivez comment il trempe le pain dans l’huile d’olive au point de nous donner envie d’en goûter. Peut-on dire que Taoufik Ben Brik a perdu le nord ? », a dit Chakib Derouich.
Des propos qui ont irrité Taoufik Ben Brik. Celui-ci a répondu : « Est-ce que t’as lu livre ? (rires dans le public) Dans un livre antérieur, Saâd cow-boy, je me suis interrogé sur ce que c’est l’intelligence. L’intelligence c’est lorsqu’il y a de la contradiction. C’est comme aujourd’hui, toi et moi sommes ensemble dans le même plateau. Demain par exemple, je pourrai m’attabler avec Satan. C’est mon métier de rencontrer tout le monde, de la prostituée au saint ! Je me dois de parler avec ces gens. Et même si je fais trempette dans la merde à Gambetta (plage polluée du côté du TGM) j’en sortirai propre ! ». L’écrivain hausse encore le ton : « J’ai demandé à l’animateur avant de venir : Est-ce que celui-là (montrant du doigt Chakib Derouich) va me poser des questions ? Je lui ai dit que je ne veux pas qu’il m’adresse la parole ».
Rappelons, par ailleurs, que Taoufik Ben Brik vient, il y a près d’un mois, de sortir son nouveau roman « New York banlieue de Tunis ». Un nouvel opus, aux éditions « Sud Editions », décrit comme « fort, dur, amusant, plein d'images fortes et de personnages bien campés », par Jean-Pierre Tuquoi. Le livre sera présenté par l’intellectuel et islamologue Youssef Seddik et le journaliste Walid Mejri, mercredi 13 janvier 2016, à 10h du matin, à la place Mohamed Ali Hammi au siège de l’UGTT.
Ecoutez ce monsieur qui se prend pour Verlaine ou pour Victor Hugo parler de sa rencontre avec Ghannouchi avec qui il a discuté surtout d'un personnage de la "météologie" grecque. Personne n'a réagi sur le plateau bien sûr, pas même le plus compétent de tous en apparence pour qui d'ailleurs Ben Brik, et les termes sont de lui, n'est pas n'importe qui, quelqu'un qu'il est difficile de situer et bla bla bla....Comme quoi, sur un plateau composé de compétences reconnues, on peut tout se permettre.
Depuis que cet islamiste antipathique, sénile et hypocrite fait partie de KLEM ENNES, je zape dès qu'il prend la parole.
Je n'arrive, tout simplement, pas à supporter sa présence, ça me rappelle la misère intellectuelle que vit le pays.
Au discours de Taoufik BEN BRIK, à la fois débile, pédant et à la limite de la correction, on peut répondre par la dérision, que ça se voit, très bien, que le président BEN ALI lui manque, pour ne pas dire qu'il a perdu le nord et avec, toute raison d'exister depuis qu'il est parti.
Quant au discours de cet *** de Chakib DEROUICHE, misérable, haineux et hypocrite, on ne peut répondre que par l'amertume, celle de la perte d'une chance d'une génération de grands commis de l'État dont, justement, Borhane BSEAIESS qui avaient été victimes d'un président qui, en ne passant pas la main en temps utile, aura permis à des sou fifres de votre genre de prendre place sur les plateaux de télévision.
Ben Ali, dont vous faites votre cible, chaque jour que dieu fait, a offert, par son manque de clairvoyance, a des minables de votre genre, la chance volée à d'autres Tunisiens bien meilleurs que toi pour un pays dont vous avez, vous autres islamistes et dérivés, détruit toutes les structures, l'économie, le mode de vie et jusque la manière d'être.
Antipathique, casse toi avant que les vrais hommes de ce pays ne reprennent la main, vous n'apportez au pays que malheur et désolation.
ça fait mal au coeur d'entendre que 25% de la population vit dans la pauvreté alors que 37 millions de dollars sont fuitées du pays.
Autrement un quart de la population souffre pour qu'une miette d'opportunistes sucent les richesses de leur pays pour qui ils n'ont d'appartenance que le nom.
Néanmoins, la pauvreté ne se mesure pas par ce qu'on a dans la poche ou dans les comptes, le pauvre (fakir) c'est celui qui n'a rien ou peu dans la tête et l'esprit.
Ces opportunistes sont avides d'argent ne vivent que pour accumuler les richesses comme si ils vont être enterrés avec.
Ils sont le pur produit du matérialisme et de l'égoïsme,
qu'ils regardent s'ils ont une cervelle que font les richards mais vrais riches avec leur fortune comme projets et oeuvres caritatives: voyez que fait Bill Gates dans le monde et d'autres exemples similaires.
Qu'ils soient des hommes riches dans leurs poches et têtes et qu'ils se souviennent que la vie à une fin.
Tu as dit qu'il est l'homme de la propagande noire de Ben Ali en même temps tu étais invité chez lui à Nessma et voila Toufik Ben Brik devenu un homme très juste il défend l'ancien Président Ben Ali durant son absence et c'est ça la peur du Dieux ce Kefouwa qui était utilisé comme baromètre pour gorger sans Ancien Président Ben Ali ( nassara hou Allah wa ayadahou ) .
Deux grrrrrrands hommes, aussi brillants l'un que l'autre, la seule différence étant que m. derwouiche s'est bien payé la tete de tbb, qu'il connaissait irascible, violent et creux...
Comment pouvez vous sympathiser avec un nullard, vous qui êtes d'une certaine culture et homme de principe?????
son sourire sans âme ni intelligence me les gonfle.
la chaise de Maya doit souffrir de la lourdeur du mec
