La réunion de la Commissions des droits, des libertés et des relations extérieures consacrée aux consensus concernant le projet de loi relatif à la dénonciation de la corruption et la protection des dénonciateurs a fait l’objet, aujourd’hui vendredi 17 février 2017 d’intenses débats.
Ainsi, Abid Briki, ministre de la Fonction publique et de la Gouvernance, a indiqué que le gouvernement doit être associé aux discussions dans la mesure où l’administration est impliquée sans oublier le souci du pouvoir à préserver les données personnelles et de s’entendre sur une définition claire de la corruption.
Pour sa part, le député du Front populaire, Aymen Aloui, a exprimé son étonnement face à l'absence de tous les députés de Nidaa à cette réunion cruciale tout en criant sa crainte qu’il s’agirait d’une prise de position de la part du parti au pouvoir laissant présager son intention de ne pas voter en faveur dudit projet de loi. Et ce serait alors grave, selon le député, si le projet de loi en question, ne soit pas adopté.
Commentaires (6)
CommenterTout l honneur revient au peuple Roumain et au peuple de la coree du sud
Banditisme de troïka pour concurrencer la dictature de Ben Ali.
14 janvier..révolution de voyous
Denoncer les abus est aussi le role des medias
Encore Nidaa Absent
1-1+1=
Moi en tout cas je doute fort .