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Habib Essid en visite au gouvernorat de Zaghouan
24/06/2016 | 15:29
1 min
Habib Essid en visite au gouvernorat de Zaghouan

Le chef du gouvernement, Habib Essid, a effectué, le 24 juin 2016, une visite au gouvernorat de Zaghouan, en compagnie du ministre de l’Equipement, Mohamed Salah Arfaoui.

 

Le chef du gouvernement a inspecté un tronçon de la RN3 reliant Jebel Ouest à Bir Mchergua objet de travaux de doublement. Ce tronçon est de 14,1 Km et le coût des travaux est de 10.5 millions de dinars. Il a également effectué une visite inopinée à la station de production d'électricité de Bir Mchergua où il a discuté avec les employés du potentiel de production de cette station.

 

M.A

24/06/2016 | 15:29
1 min
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Commentaires (1)

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Abel Chater
| 25-06-2016 10:42
Le Premier Ministre Habib Essid veut éduquer et apprendre à ses ministres, la méthode et la manière civilisées et modernes, d'usage dans les démocraties des pays les plus avancés de ce monde. Il laisse une grande marge de liberté de décision à ses ministres. Toutefois, il y a des ministres comme ce Mohamed Salah Arfaoui, qui le prennent pour un complexe d'infériorité de la part de leur chef et commencent à illustrer leur manque de respect aux protocoles et à la hiérarchie. Une photocopie de ce qui s'est passé avec le premier président de notre deuxième République tunisienne Moncef Marzouki. A peine que ce dernier eut donné la liberté d'expression et de la parole aux Tunisiens qui venaient à peine de se libérer d'une dictature millénaire, que des illettrés de la démocratie se sont acharnés contre lui pour l'insulter et pour s'en moquer même de ses lunettes et de son burnous.
Donc, par sa position devant son chef le premier Ministre Habib Essid et encore avec cette position nonchalante et indisciplinée de garçon d'un café populaire, ce ministre de l'Equipement Mohamed-Salah Arfaoui, fait preuve d'un énorme manque d'éducation politique. Il n'a qu'à regarder comment les plus charismatiques des ministres de l'Allemagne, se tiennent derrière leur chancelière Angela Merkel. Une obligation protocolaire dans toutes les démocraties de ce monde.
Notre malheur aux Tunisiens, c'est qu'on ne parle que de diplômes et presque jamais d'éducation, de comportement ou de civisme.
Allah ghalèb !!!