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Tunisie - ANC : Azed Badi perdu, Hmila menaçant et Samia Abbou soupçonneuse …
03/09/2013 | 1
min
Tunisie - ANC : Azed Badi perdu, Hmila menaçant et Samia Abbou soupçonneuse …
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Al Bawsala rapporte qu’Azed Badi a annoncé que la réunion consultative des élus pour le maintien de l'ANC qui se déroule ce mardi 3 septembre 2013 portera sur un débat entre les élus pour tenter de répondre à la question suivante : « est-il judicieux de continuer la réunion dans cette salle ou dans la salle officielle ?»

L’élu du parti au pouvoir Walid Bennani et celui d’Al Aridha, Aymen Zouaghi, se sont d’emblée exprimés en faveur du déplacement du lieu de la réunion dans la salle officielle.

Azed Badi a déclaré que la parole est accordée aux représentants des blocs, mais plus démocrate Néjib Hosni, a pour sa part, estimé « que la parole devrait être donnée à celui qui la demanderait, pas par blocs ».

Tahar Hmila n’a pas semblé emballé de débattre sur cette question et a tenu à poser aux élus d’Ennahdha une question qui lui tenait à cœur « pourquoi vous négociez avec ceux qui veulent vous éliminer et négligez vos alliés ? » puis a affirmé « je suis prêt à présider la prochaine plénière, et à prendre des mesures visant à exclure tous les élus qui n’y participent pas ».
Suite à quoi, Azed Badi rappelle que le sujet de la réunion est de savoir s’il faut changer le lieu de la réunion à la salle principale ou pas puis propose de passer au vote, mais certains élus on demandé la parole
Néjib Hosni semble ignorer la remarque de ce dernier et rejoint l’idée de Tahar Hmila en déclarant que « pour la prochaine plénière, il faudrait que l'élu le plus âgé préside la séance, vu l'absence des présidents ».

Mouna Ben Nasr l’ancienne élue d'El Moubadara , quant à elle, affirmé « qu'il ne faut pas attendre la déclaration de Mustapha Ben Jaâfar et qu'il faut lui envoyer un signal fort »

Samia Abbou a expliqué que « juridiquement, la situation actuelle n'existe pas » ajoutant qu’il « il faut revenir à la situation initiale de plénière inaugurale pour pallier à cette situation de vide ». Mais redoutant la théorie du complot, elle s’est empressée de renoncer à son idée et d’expliquer «je ne veux pas aller dans cette solution juridique parce que je ne suis pas sûre que le droit sera appliqué » puis s’est opposée au changement du lieu de réunion parce qu’elle a estimé «qu'il y a tout un jeu politique qui se trame ».


I.C
03/09/2013 | 1
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