Au lieu de permettre aux médias tunisiens de parler d'un succès universitaire quelconque ou de la moindre réussite estudiantine, ce fou à lier veut faire de la politique des portailles à la même manière des rdicaux dont il prétend combattre. Il rabaisse cette faculté à un niveau comique, de loin plus bas et pire que celui des Salafistes qui utilisèrent leurs méthodes primitives, induisant l'université tunisienne dans leur radicalisme politico-religieux dont il prétend commémorer. Il utilise toutes les ruses et toutes les tricheries enfantines, pour faire parler de lui dans le vide, pour rien et sans le moindre effort universitaire ou intellectuel. Il utilise le même truc et la même maligne que Besma Khalfaoui, qui transforme le martyrisme de Chokri Bel Aid en son propre fonds de commerce.
Après 5 ans d'un fait divers parmi d'autres milliers en rapport avec les circonstances des perturbations primaires, qui furent nécessaires en ce début de notre transition démocratique, ce Kazdaghli nous joue au Superman qui commémore la Jeanne d'Arc de sa faculté.
Oh combien le peuple tunisien est rassasié de telles banalités et de telles futilités de basse facture, par lesquelles les grenouilles essaient de se faire grosses comme des boeufs.
Au lieu de ridiculiser l'université tunisienne de cette manière primitive et comique, nous attendons toujours à ce que cette faculté monopolisée et soumise à la dictature de Kazdaghli et de sa milice, qu'elle s'illustre par un succès universitaire quelconque en dehors de ces histoires d'Ommek Sissi, afin que nous soyons fiers de nos enfants, non pas de leurs querelles dont attise et tire profit personnel ce vieux loup Kazdaghli.