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Automobile : Le marché officiel gagne du terrain sur le marché parallèle en janvier 2016
10/02/2016 | 20:05
2 min
Automobile : Le marché officiel gagne du terrain sur le marché parallèle en janvier 2016

Pour le mois de janvier 2016, 5.305 voitures ont fait leur entrée sur le marché tunisien, soit une hausse de 18,05% par rapport à janvier 2015. Sur ce total, 3.301 véhicules neufs ont été enregistrés contre 2.330 véhicules en 2015, en hausse de 41,67%. En contre partie, le marché parallèle a connu une baisse de 7,98%, avec 2.004 ré-immatriculations contre 2.164 pour cette même période de 2015.

La part du marché officiel dans tout le marché automobile passe de 51,8% en janvier 2015 à 62,2% en janvier 2016.

 

Sur le marché des véhicules particuliers, Kia est sur la première marche du podium avec 332 véhicules vendus en janvier 2016 contre 62 véhicules vendus en janvier 2015, en hausse de 435,5%. Elle est suivie par la marque Volkswagen avec une hausse de 41,5%. Le nombre des véhicules immatriculés par la marque est passé de 273 à 193 véhicules entre 2015 et 2016 pour cette même période. Sur la 3ème marche, Renault avec 264 immatriculations pour janvier 2016 contre 10 immatriculations pour cette même période en 2015, est en hausse de 2540%.

Ainsi, Kia s’accapare de 14% de part de marché pour les véhicules particuliers suivie par Volkswagen avec 11,5% et Renault avec 11,2%.

 

Sur le marché des véhicules légers, Peugeot arrive première avec 361 véhicules vendus en janvier 2016 contre 219 véhicules vendus en janvier 2015, en progression de 64,8%. Elle est suivie par Kia qui enregistre une hausse de 439,7%, ses importations vendues passant de 63 véhicules en 2015 à 340 véhicules en 2016 pour cette même période. Pour clôturer ce top 3, Volkswagen accuse une augmentation de 22,9%, ses ventes évoluant de 236 à 290 véhicules.

Peugeot détient donc 10,9% de part de marché, suivie par Kia avec 10,3% et Volkswagen avec 8,8%.

 

Sur le marché des véhicules utilitaires, on retrouve à la première place Isuzu qui enregistre une baisse de 31,3%, son nombre de véhicules immatriculés passant pour cette même période de 217 en janvier 2015 à 149 en janvier 2016. A la deuxième position, Citroën avec 142 nouvelles immatriculations contre 58 nouvelles immatriculations en 2015, en hausse de 144,8%. Sur la troisième marche Peugeot, accusant une progression de 268,4%, avec des ventes évoluant de 38 véhicules en janvier 2015 à 140 véhicules en janvier 2016.

Isuzu possède 15,9% de part de marché, suivie par Citroën avec 15,2% et Peugeot avec 15%.

 

Les affaires sur le marché parallèle sont moins florissantes que d’habitude mais plusieurs chiffres sont au vert. Sur la première marche la marque allemande Volkswagen, avec 410 véhicules ré-immatriculés en janvier 2016 contre 358 véhicules ré-immatriculés en janvier 2015, en progression de 14,5 %. Sur la deuxième marche arrive Peugeot, qui enregistre une hausse de 7,6%, avec 296 véhicules d’occasion contre 275 véhicules d’occasion pour cette même période. Sur la 3ème marche, on retrouve Citroën avec une baisse de 13,3%, passant de 339 ré-immatriculations à 294 ré-immatriculations entre 2015 et 2016, pour cette même période.

 

I.N

10/02/2016 | 20:05
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Commentaires (1)

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observator
| 11-02-2016 16:12
Arrêtez de parler de marché concernant l'automobile comme si c'est un important secteur.
La Tunisie n'a pas d'industrie automobile. Nous ne fabricons ni voitures de tourisme ni utilitaires donc c'est de l'importation.
Il est vrai que ce souk est tenu globalement
Par des samsaras. Qui s'enrichissent facilement sur le dos du consommateur tunisien qui doit payer le prix fort pour une qualité inférieure généralement aux normes internationales.
Ces samsaras sont très influents politiquement et certains n'ont pas hésité à "payer" certains médias et politiques pour défendre leur privilege entre autres pour faire annuler une décision d'Essid qui était pourtant dans l'intérêt du pays.
Nidaa et Nahdha n'ont pas tenu leurs promesses faites aux immigrés lors des dernières élections après avoir obtenu massivement leurs voix. Alors qu'ils contrôlent la chambre des députés et donc peuvent faire passer les lois.
Aujourd'hui le mensonge est devenu le principal programme des politiques tunisiens en général.