Le dirigeant d’Attayar, Mohamed Hamdi a affirmé, ce mardi 15 janvier 2020, que son parti était concerné par les négociations autour de la formation du gouvernement.
Dans une intervention téléphonique sur les ondes de Jawhara FM, M. Hamdi a indiqué que Attayar se concertera avec les partis qui étaient concernés par les négociations autour de la constitution du gouvernement de Habib Jamli à savoir Ennahdha, Echaâb et Tahya Tounes.
Et d’ajouter qu’il ne voit, pour le moment, aucun « besoin » de négocier avec Qalb Tounes. Cependant, il n’exclut pas cette mesure si « la situation le nécessite ».
Mohamed Hamdi a, par ailleurs, souligné qu’il contribuera d’une manière « efficiente » au gouvernement à travers la proposition d’un potentiel chef du gouvernement ainsi que les concertations autour de la composition du gouvernement.
Une composition qui doit répondre à la vision et au programme d’Attayar quant à « l’instauration de l’Etat de droit et des institutions aussi bien que la réforme de l’administration ».
Rappelons qu’Attayar ainsi que le Mouvement Echaâb constituant le Bloc démocrate n’ont pas voté pour le gouvernement Jamli qui n’est pas passé avec 134 voix contre parmi les 209 élus présents à la plénière du vote de confiance.
Le Bloc démocrate révisera ses conditions pour participer au gouvernement selon Ghazi Chaouachi. Les conditions étant d’obtenir certains ministères et de désigner un chef du gouvernement « indépendant, intègre, ferme, qui dispose d'une forte personnalité et qui n’est pas influencé par l’ancien régime ».
B.L
Ce Mr c'est le cheval de Troie de Ghannouchi.....
Dans les faits comme dans les intentions, KS n'attend plus rien de personne mais laisse tout un chacun macérer en solo ou en groupe, qui dans ses illusions, qui dans ses rêves les plus roses, qui dans ses cauchemars les plus noirs.
Chacun joue dans son coin sa misérable partition et fait mine d'ignorer que le maître des horloges les observe comme un chercheur observe dans son labo des cloportes se bouffer entre eux, se monter les uns sur les autres et se bousculer pour passer l'étape dans les meilleures conditions en essayant de perdre le moins de plumes dans la bagarre !
In fine, celui qui donnera le "la" et mettra le pouce vers le bas, c'est KS et personne d'autre !
Et qui vivra verra !
Maxula.
On dirait un marché de *****. Ennahdha vous achete et vous vend comme elle veut. Qalb n'est pas meilleur.
Votre place est ailleurs et non à l'ARP.
Ennahdha biha ou aliha mais ils savent vendre et acheter les députés des autres partis. Sahha likoum ennahdha. Seul le PDL vous n'êtes pas arrivez à les avoir. Eux se sont de vrais députés qui vous tiendront têtes.
Ces partis me rappellent les partis d'opposition du temps du RCD. C'est l'opposition mais qui propose ZABA comme candidat. '? ne rien comprendre.
Ravi de voir qu'en Tunisie il reste encore des partis patriotes comme le PDL.
Avec Abir et la société civile, l'heure de vérité est imminente et le départ des khouenjias et cie n'est qu'un aboutissement normal des choses.
Cette fameuse phrase peut faire l'objet d'un sujet de dissertation philosophique au baccalauréat de cette année.
Vous aurez vos khwenjias Ennahdha jusqu'à la fin de vos jours minables ; vous n'avez pas les couilles de leurs dire "non" ; ils ont perdus non? c'est pas eux qui ont fait la constitution les khwenjias? Donc ils savent que s'ils échouent à former un gouvernement, le jeu de la DEMOCRATIE veut qu'ils soit en dehors de toute autre négociations.
Mais que voulez vous, au pays du "bagla liha" et des bénis oui oui aux islamistes ne peuvent s'empêcher de courber l'échine devant leurs maîtres.
Moncef Marzouki est passé par là ; il leur a donné l'ordre de le faire.
donc chercher madame BOUCHEMMAOUI et proposer ce poste .
as-tu la possibilité de devenir un politicien au vrai sens du mot ? vraiment tu me dégouttes .au cas les khwamjia t'accompagnes, tu seras certainement une roue de secours .
estimes toi heureux pauvre con .
LES KHWAMJIA SONT COMME BOUTELLIS ?SUR LE DOS DE CHACUN DE VOUS .
Si tayar va s'associer avec Nahtha=> la tunisie sera gouverné par la moitié de l'ancien régime