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Affaire de la chevrotine de Siliana : Les sécuritaires dénoncent la décision de la Justice
29/09/2017 | 19:07
1 min
Affaire de la chevrotine de Siliana : Les sécuritaires dénoncent la décision de la Justice



Le Syndicat des Fonctionnaires de la Direction Générale de la Sureté Publique (SFDGSP), a exprimé sa déception à la suite du jugement rendu par la justice concernant l’affaire de la chevrotine de Siliana.



Le SFDGSP a considéré que la décision de clore l’instruction et de traduire quatre sécuritaires devant la chambre des mises en accusation près de la cour d’appel militaire au Kef, est une tentative de diabolisation de l’institution sécuritaire et d’en faire de ses agents des boucs émissaires.



Le syndicat a dénoncé, également, l’exclusion du pouvoir exécutif de l’affaire, qui a donné l’ordre de tirer sur les manifestants.

Par ailleurs, il a annoncé son soutien absolu avec ses adhérents, ajoutant qu’elle désigné un comité de défense pour suivre les développements de l’affaire.



S.H

29/09/2017 | 19:07
1 min
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Commentaires (16)

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Adnen
| 02-10-2017 16:38
J'apprécie votre connaissance de l'histoire mais ce que vous évoquez n'a rien à voir avec notre sujet.

La guerre est un des fronts et c'est du ressort de l'armée. Pour la police, un des fronts est de faire face aux manifestants pour que ça ne dégénère pas, parce que la foule peut se transformer en horde... et croyez-le ou pas cela devient une guerre

Pour revenir à la situation en question et à vos propos : être ivre et donner des ordres est loin d'être le cas (du moins je l'espère...) donc ou bien il y a eu ordre de la chaîne de commandement, ou bien les policiers ont agi seuls... et dans chaque situation une responsabilité différente à assumer. Dans certaines situations, les policiers peuvent tirer sans en recevoir l'ordre et les cas sont bien définis (légitime défense, risque de perdre son arme etc...)

Je vous le répète : un policier et/ou un soldat doit exécuter un ordre reçu de la chaîne de commandement, point barre donc SVP ne me dites pas que le policier et/ou le soldat doit juger si l'ordre est bon ou pas et si le donneur d'ordre est apte ou pas

Pour résumer :
- il y a eu ordre et c'est la responsabilité du donneur d'ordre
- il n'y a pas eu ordre et c'est la responsabilité du tireur, sauf s'il s'agit d'un cas légitime

Dans tous ces cas, cela relève de la compétence de la justice et personne d'autre, encore moins moi-même et vous

pit
| 02-10-2017 08:20
Les nahdhaouis peuvent continuer à cacher des cadavres dans leurs placards et passer toutes les lois pour se prémunir de la justice...ils ont a jamais perdu toute crédibilité envers le peuple tunisien et bientôt ils retourneront moisir en prison...d'où ils n'auraient jamais du sortir!

Zohra
| 30-09-2017 16:34
Bonjour,

Mais Monsieur Ali baba et ses quarante voleurs sont sortis d'affaires, oui acquittés, ils n'avaient rien fait les pauvres, ceux sont les héros de l'époque voyons.

Dure dure

Bonne continuation

ommiaziza1912
| 30-09-2017 16:05
Et Ali le large ou il est dans cette affaire. Le plus grand premier ministre de l apres revolution de la brouette

Abel Chater
| 30-09-2017 12:36
Réponse à @Adnan
Ce dont tu évoques, n'est requis qu'en temps de guerre et sous des ordres militaires, non pas sous des ordres de politiciens.
Figure-toi qu'un politicien quelconque ou qu'un supérieur quelconque, fasse le plein en alcool ou en drogue, puis commence à distribuer ses ordres de tuerie, à gauche et à droite. Et que les policiers lui exécutent son carnage. Ça sera la fin de la subordination entre les êtres humains.
Déjà aux temps de la chasse barbare des Romains contre les Chrétiens, Pline le Jeune, qui fut gouverneur de Bithynie, région et royaume du nord-ouest de l'Asie Mineure en 112, écrivit à l'Empereur Trajan : «dois-je tuer des êtres humains seulement pour leur croyance ?».
Donc mon ami, les ordres aux policiers pour tuer des manifestants civils en état de paix, ne s'exécutent que suivant la volonté criminelle de l'agent lui-même. Il y a des agents de police qui ne cherchent que de telles opportunités pour satisfaire leur complexe d'infériorité, à l'image de ce qu'ils firent le jeudi noir du 26 janvier 1978. Les autres policiers et gendarmes de la Tunisie ont fait preuve d'un civisme légendaire après la fuite du dictateur déchu Ben Ali. D'aucuns d'entre eux ne voulurent faire usage de leurs armes à feu, par crainte de se transformer en des assassins. Beaucoup d'entre eux remirent leurs armes à l'armée tunisienne et se retirèrent pour échapper à la confrontation avec le peuple tunisien. C'est ça le vrai Tunisien et c'est ça la vraie Tunisianité.
Lors du putsch du Saffah Sissi contre le président élu par le peuple, Morsi, il mit son armée derrière les forces de l'ordre égyptiennes, lui ayant ordonné de tuer tout policier qui sympathise avec ses opposants. Un crime qui mena les forces de l'ordre égyptiennes à se transformer en les plus bestiaux de l'histoire humaine. Beaucoup parmi ces policiers se sont transformés en de cas psychiatriques et beaucoup ne trouvent plus sommeil depuis leur génocide de Rabiaa au Caire.
Soyons sérieux mon ami. N'oublie pas que tu as affaire à des magistrats dans cette affaire. Ils ont étudié toute leur vie pour faire la balance de l'équité et de la justice, avec intelligence et lucidité.

Adnen
| 30-09-2017 11:07
Votre commentaire m'a tout simplement... abasourdi.

Tout le monde connait la devise des forces armées (police et armée) : exécute puis discute. Ceci est leur principe fondamental qui fait toute la différence sur les fronts, sinon c est la cour martiale assurée qui peut aller jusqu'à la haute trahison (en cas d'événement majeur) et donc le peloton d'exécution.

Donc, si je comprends bien votre logique : ils obéissent aux ordres et c'est la cour martiale, ou ils désobéissent et c'est la cour martiale...

Et puis c'est facile pour vous de donner un tel avis : assis confortablement derrière votre écran, loin des fronts...

Et je tiens à préciser : par ces propos je ne justifie nullement ce qui s'est passé

Karim
| 30-09-2017 10:41
Logiquement, et pour tous les faits qui se sont passés durant la gouvernance d'Ennahdha qui ont gravement touchés à la sureté du pays (il faudrait se replonger dans les articles de Business News entre les années 2011 et 2013 pour se rafraichir la mémoire), Ali Larayedth et d'autres ministres d'Ennahdha devraient répondre devant le tribunal militaire et se justifier, comment ils ont laissé les groupuscules terroristes recruter, s'organiser, s'armer, voir faire la loi dans l'espace public devant une police qui se contentait d'observer.

Quand est ce qu'ils seront jugés pour ces faits qui relèvent de la haute trahison?

HAtemC
| 30-09-2017 10:29
Ferme là ... qui t'a sonné pour donner un avis sur la Tunisie ... c'est un ordre venant des nahdhawis jbéli et laarayedh ... la chevrotine ne tue pas mais blesse tête de n'ud ... la chevrotine mutile ...

Ne donnes plus d'avis sur la Tunisie le HARKI ... HC

A4
| 29-09-2017 21:55
Les nahdhaouis sont prets à enlever le haut et le bas puis se déculotter pour échapper à la justice. ali, rafik et les autres ne peuvent pas me contredire.

Abel Chater
| 29-09-2017 21:50
C'est quoi cette logique du syndicat (SFDGSP), par laquelle ils veulent nous faire comprendre, que lorsqu'on ordonne à un policier de tuer les citoyens, il faut qu'il exécute les ordres à l'égyptienne du Saffah Sissi et qu'il commette les pires des crimes contre son propre peuple?