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Afek Tounes se retire de la composition du gouvernement Essid
23/01/2015 | 13:25
1 min
Afek Tounes se retire de la composition du gouvernement Essid

Le député de Afek Tounes au sein de l’ARP, Riadh Mouakhar a annoncé, dans une déclaration accordée vendredi 23 janvier 2015, à Business News que son parti se retire de la composition du nouveau gouvernement Essid.

Riadh Mouakhar a affirmé que ce retrait a été décidé à cause de l’ambigüité des négociations. Il souligne que Habib Essid a proposé les ministères de l’Education et du Tourisme à Afek Tounes, alors que le parti visait des portefeuilles économiques. M. Mouakhar a ainsi indiqué que son parti considère que le gouvernement doit être politique, rappelant qu’il est primordial pour les partis d’appliquer les programmes sur la base desquels ils ont été élus.

I.L.

23/01/2015 | 13:25
1 min
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Commentaires (31) Commenter
Tant mieux
Pfff
| 25-01-2015 05:31
Afek est un parti ultra liberal au niveau economique, a l'image d'Ennahdha d'ailleurs.
Lorsqu'on veut servir son pays on ne fait pas la fine bouche
Pirate
| 24-01-2015 14:38
Education et tourisme, rien que ça !

Bourguiba a construit l'état tunisien essentiellement sur ces deux axes (en plus de l'agriculture).

Qu'on le veuille ou pas, la Tunisie en l'absence de richesses naturelles fossiles, ne peut compter que sur sa richesse humaine et les services comme c'est le cas pour la plupart des pays occidentaux et plus proches de nous par la dimension démographique, les pays scandinaves ou encore la Belgique et les Pays Bas.

La position de Afek donne raison à ceux qui l'accusent de rouler pour les ultra-libéraux qui veulent appliquer à la Tunisie une politique anti-sociale d'où son désir de tenir les rênes de ministères tels que les finances, économie et commerce ou encore affaires sociales et emploi.
Une position à saluer
observator
| 24-01-2015 13:35
Afek, au moins, a pour lui la clareté; je ne participe pas car je n'aurai pas les moyens de ma politique au sein de ce gouvernement;
Une position respectable vis à vis de ses électeurs.
l'education et le tourisme ;il y a du boulot
citoyen
| 24-01-2015 12:09
Afek fait la fine bouche ;ils veulent l 'économie et les afariyet
L'education est un grand chantier;ou ils pouvaient montrer leur capacité d 'innovation
Le Tourisme ;il y a de quoi faire pour le pays
Ce parti est prétentieux et arriviste;quand on veut travailler pourle bien de son pays ;l 'Education et le Tourisme SONT DEUX GRANDS MINISTERES




AFEK, ne suit pas la trace du FP!
rzouga
| 24-01-2015 12:06
C'est une erreur stratégique de Afek un Parti en construction et qui a tout à apprendre; le temps est pour le boulot et non pour des disputes de "chaises". Les défis sont là et énormes qui ne peuvent attendre plus longtemps; assez de polémiques stériles à la Front populaire qui a raté lui aussi l'occasion qui ne lui se présentera pas de si tôt. Apparemment il se plait dans sa position d'éternel opposant dont l'exemple type au sein du FP est Si Ahmed Esseddik. C'est dommage pour eux car ils n'ont pas mesuré et n'ont pas saisi l'heureux changement qui s'est produit dans le pays .
domage pour afek tounes
vive la tunisie
| 23-01-2015 22:02
les portes feuilles propsés sont les plus importants pour la tunisie surtout l'éducation qui est la base de tout développement
c'est une poupée qui fait non
heddou
| 23-01-2015 21:28
comme la chanson de Polnareff, Afek Touns, c'est une poupée qui fait non, non, non...Ce n'est pas mature du tout cette attitude de rejet; pire encore, les déclaration de leur leader ce soir sur Nessma. Quels arguments futiles! Pour qu'il y ait des réformes, il faut les moyens. et ce n'est pas en plaçant leurs ministres que ça changera. Afek par sa volte face s'est discréditée
Afek a vu juste.C'est une décision réfléchie.
muma
| 23-01-2015 20:20
La parti libéral tunisien ( AFEK TOUNES ) a bien fait fait de ne pas participer à un gouvernement de " bleu(e)s ",en matière de politique.
Sa décision juste et raisonnable exprime une logique responsable et laisse le champ libre aux responsables nommé(e)s d'assumer leurs responsabilités.
Dans quelques semaines et mois,la Tunisie sera en ébullition à cause du cumul des problèmes d'ordre sécuritaire,économique,social et culturel que ces ministres ( débutant(e)s ) vont rencontrer et les solutions seront trés difficiles à trouver et appliquer,dans un pays en faillite virtuelle.
Les spécialistes et expert(e)s compétent(e)s d'AFEK seront appelé(e)s à la rescousse,vous verrez.
C'est une question de temps et de principe.
@Viva Tunisia
A. Ben Abd.
| 23-01-2015 19:25
Je ne sais pas si Afek a vu juste ou pas. Ce que je sais, c'est que la métamorphose d'un pays commence par l'éducation et la recherche et qu'un grand ministre de l'éducation est parfois plus important et plus rayonnant qu'un président de la république ou qu'un premier ministre.
Tawfik Jlassi est un grand monsieur (de Afek, ne nous voilons pas la face) et aurait pu poursuivre sa tache.
C'est aussi un collègue parisien donc je sais de quoi et de qui je parle. J'ai moi-même travaillé plusieurs années en détachement en Tunisie, pour être chez moi, j'ai monté une équipe de recherche et encadré plusieurs thésards. Mon implication dans l'enseignement et la recherche avec ma mission concernant le programme éducatif à Afek auraient pu être bénéfiques si Tawfik ne voulait plus de ce poste.
Ou du moins que l'on me contacte pour me demander un avis au lieu de traiter les gens de haut.
Étant aigri par le comportement de la nouvelle classe politique en Tunisie, je n'attends rien sinon de pouvoir servir à quelque chose pour la Tunisie nouvelle.
Alors si monsieur Essid veut d'un grand projet qui, par ricochet atteindra, l'économie, la culture et la recherche fondamentale, qu'il me sonne. Je répondrai présent (pas besoin d'être ministre pour pouvoir aider).
A. Ben Abd.
Pas de leçons à recevoir
MAE
| 23-01-2015 19:16
En matière d'opportunisme et d'arrivisme, Afek n'a pas de leçons à recevoir, surtout pas de Nidaa.

Certains commentaires ne reflètent que le sectarisme de leurs auteurs. On n'est pas sorti du "tu es avec moi ou contre moi".
Donc mon ami d'hier qui m'a soutenu lors des présidentielles était beau et intelligent. Il devient tout d'un coup arriviste parce qu'il a un point de vue différent du mien.