http://www.thd.tn/index.php?option=com_content&view=article&id=5236:quelques-agences-de-tunisie-telecom-ouvrent-desormais-7j-7&catid=63:enbref&Itemid=316
Le ministre de la Fonction publique et de la Gouvernance, Abid Briki, est intervenu sur les ondes de Shems Fm ce mardi 18 octobre 2016 pour revenir sur la polémique qui enfle autour de la Loi de finances 2017 et pour justifier les politiques prônées par l’Etat.
Abid Briki a d’abord estimé qu’il était incohérent de traiter les dossiers relatifs à la corruption en même temps que la Loi de finances 2017. Il a également affirmé qu’il était en possession de dossiers traitant de corruption dans de nombreux domaines et il a appelé les citoyens détenant des preuves de corruption à les lui faire parvenir. A ce sujet, le ministre a rappelé aux citoyens qu’une loi protégeant les dénonciateurs des délits de corruption existe et que ceux-ci sont donc protégés de tout acte de vengeance.
Le ministre de la Fonction publique a également tenu à rectifier les rumeurs relatives à la Loi de finances 2017. A ce sujet, il a indiqué que « les 18 % d’impôt sur les produits culturels, l’augmentation du prix des denrées de base, l’augmentation du montant de la vignette sont fausses. Il n’y aura pas d’augmentation du montant des impôts dans ces secteurs ».
A la question du journaliste: « Imposer les citoyens est-ce la seule solution pour renflouer les caisses de l’Etat et affronter la crise ? », le ministre a répondu « Je confirme qu’il faut se sacrifier et que la Tunisie nécessite clairement un plan de sauvetage. La Tunisie est en train d’hypothéquer son futur. L’Etat est confronté à deux solutions : la première est l’endettement par un emprunt extérieur, la seconde est de demander au peuple de lui prêter de l’argent. Et bien l’Etat a opté pour la seconde option ».
Revenant sur la résolution des crises de Petrofac et de la STIP, Abid Briki a déclaré : « S’il fallait pactiser avec le diable nous l’aurions fait ». Il a ajouté que depuis sa prise de fonction, le gouvernement d’union nationale n’a cessé de s’atteler à trouver des solutions avec la centrale syndicale, comme pour les deux dossiers brûlants et épineux précités.
Sur le climat social du pays, le ministre a affirmé que le gouvernement fait tout son possible pour consolider la paix.
Parlant de la lettre envoyée par le chef du gouvernement, Youssef Chahed, au secrétaire général de l’UGTT, Houcine Abassi, Abid Briki a déclaré « Cette lettre est le signe que le dialogue est toujours ouvert ».
A propos de la fonction publique, Abid Briki a affirmé qu’il y avait de nombreuses urgences. Selon lui, la lenteur du travail des fonctionnaires induit des actes de corruption, il a ajouté que pour réformer l’administration tunisienne, il fallait qu’un observatoire ou qu’un comité de suivi et de surveillance soit mis en place. Sur le travail du samedi imposé à certains services de l’Etat, il a affirmé que « La Tunisie est devenue une ville fantôme les samedis. Ce n’est pas normal que ni La Poste, ni Tunisie Telecom, ni la STEG, ni la SONEDE, ni la Recette des Finances, ni les municipalités ne travaillent ce jour !».
K.H
Commentaires (18)
CommenterTUNISIE TELECOM travaille meme
http://www.thd.tn/index.php?option=com_content&view=article&id=5236:quelques-agences-de-tunisie-telecom-ouvrent-desormais-7j-7&catid=63:enbref&Itemid=316
L'état(le devêtu) ...chaparde son peuple(le mort) ...
Hypocrite, le peuple pour engraisser encore les corrompus
Il a , avec ses amis de l'UGTT, participé à la destruction du peu d'économie de ce pays pour le rendre encore plus vulnérable et donc dépendant de l'Etranger.
Ce type comme beaucoup d'autres sont au service de la grande ***.
Ce n'est pas avec ces dinosaures que le pays va s'en sortir au contraire.
Pauvre Tunisie.
Et réduire les dépenses, il n'y a pas pensé ???
- virer 25% des fonctionnaires ( à commencer par les voyous du 3afw tachri3i ), ne remplacer aucun départ à la retraite.
- contrôle fiscal approfondi de tout médecin, avocat, contrebandier qui ne saurait justifier son train de vie comparé aux impôts qu'il paye.
- arrêtes toutes les subventions au pain, essene ... et les remplacer par une prime de 200 dinars aux plus pauvres, ça ne sert à rien de subventionner le pain servi dans les hôtels ni l'essence consommée par les 4*4 garés devant le billionnaire.
- interdire les subventions et aides étrangères à toute ONG, ces associations doivent vivre des cotisations de leurs adhérents, pour qu'elles soient indépendantes et n'agissent pas contre les intérêts du pays.
- analyser profondément les finacenements des partis politiques et des chaines de TV.
@Maryem
Allah inoub.
Patience ex-syndicaliste
Pilleurs de l argent du peuple
Il faut aller chercher l argent chez les voleurs du fisc et les barons de la contrebande
Ben mon premier commentaire n'est pas passé, dommahe
Mais les ETRANGERS A L'INSTITUTION sont en train de charger L'INSTITUTION avec des accessoires comme cette POLICE FISCALE...
Enfin, l'institution sera grippée!